Guide Libre Association pense-bete-vrac

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Pense-bête[modifier]

à balayer pour voir si l'idée est glissée à un moment ou à un autre et voir éventuellement ce qui peut être glissé sans alourdir si non mentionné. Attention à ne pas vouloir tout mettre au risque de noyer le message de fond.

Idées en vrac pour s'inspirer et continuer :[modifier]

  • copyleft
  • Partage de la connaissance : les fournisseurs ont empêché de copier les logiciels alors que c’est possible de les copier sans soustraire l’original.
  • Émancipation  : quand on a l’accès du code source, on a la possibilité de l’étudier et de le modifier et la possibilité de le redistribuer. Ainsi cette liberté offerte concerne les informaticiens. La liberté de redistribuer permet l'indépendance.
  • gratuité ou quasi-gratuité => en fait de la mutualisation à grande échelle.
  • « division et impuissance »
  • parler de RMS
  • internalisation de la connaissance ; tout du moins pas d'expropriation
  • Liberté et maitrise du SI
  • conformité entre les discours et les actes (partage du savoir, normes sociales véhiculées)
  • gouvernance, collaboration, mutualisation, résilience, indépendance
  • sécurité
  • liberté, égalité, fraternité

Liberté : chaque utilisateur peut contrôler le fonctionnement du logiciel. Égalité : aucun utilisateur ne peut imposer ses choix aux autres. Fraternité : le partage, la collaboration et la copie des logiciels est encouragée.

  • bien commun vs appropriation exclusive de la connaissance.
  • Nous devons mener la bagarre contre les brevets, c’est aussi un combat sur la culture, le vivant, l'accès aux médicaments pour les pays pauvres et le partage de la connaissance en général.
  • Le libre s'incrit dans la logique d'un bien commun, non excluable, non rival. C’est une économie de réseau : plus on utilise une technique, plus on l’améliore. Non seulement on ne perd pas à le partager, mais en plus on est gagnant.
  • parallèle nouvelles enclosures
  • la réappropriation par ses utilisateurs. les utilisateurs finaux les mieux placés pour introduire des fonctionnalités innovantes. En cela le libre s'inscrit dans la continuité des pratiques « hackers » qui font éloge de la « bidouille », de la réappropriation.
  • Les enjeux : fracture numérique, enjeux écologiques, enjeux micro et macro économiques, enjeu de sécurité informatique.
    • L’équipement logiciel est facilité à faible coût.
    • Le partage de la connaissance, et la volonté d'émanciper contribuent à réduire la fracture de la connaissance.
    • On évite l’obsolescence rapide des logiciels et matériels, d’où un intérêt écologique.
    • Pérennité des données, par l'utilisation de standards ouverts.
    • Pour l’intérêt économique, il faut sortir des monopoles et des rentes. Chaque fois qu’on achète un PC, on achète du Microsoft qui gagne ainsi des milliards. Et nous n’avons même pas de facture pour ce Microsoft (problème de vente liée).
    • Autour du libre on ne vend pas de la rente mais du service.
    • La collaboration est écologique et pas chère grâce au courriel.
    • Les logiciels privateurs espionnent de façon régulière, mais difficilement vérifiable.
  • Quatre formes notables de pollution du libre :
    • Les DRM (menottes numérique) sur le multimédia pour empêcher de le copier. Des lobbies énormes pour les DRM qui protègent les droits d’auteur. Si on essaie de les casser, on est passible de prison.
    • Informatique déloyale : vise à restreindre la liberté d'exécuter des logiciels « non autorisés ».
    • Les brevets logiciels sont donc protégés par le droit d’auteur mais des industriels souhaitent le remettre en cause au profit des brevets. En Europe cela ne se fait pas mais l’office européen des brevets accepte illégalement des brevets logiciels. Ces brevets sont invalides, mais ce n’est pas les petites entreprises ou les développeurs qui iront en justice pour dénoncer cette outrepassement de la loi.
    • Vente liée : Microsoft verrouille tous les fabricants et il est très difficile de se procurer un ordinateur sans payer de force microsoft.

L’intérêt du libre pour les associations c’est l’accès presque gratuit car il y a mutualisation à grande échelle. On fait du libre sans le savoir parfois. Avec les logiciels privateurs on exproprie ses connaissances car ils verrouillent le plus souvent les données. Le libre, aussi c’est une gouvernance ouverte, très décentralisée. C’est une architecture soupe et régulée. C’est un travail partagé, on invente des applications et se crée une communauté de développeurs autour d’un logiciel. Des clauses de licence comme le copyleft permettent de créer un pot commun de connaisance auquel chacun peut ajouter, sans jamais pouvoir soustraire quoi que ce soit. Si vous lisez ce guide, c'est que vous avez sans doute déjà appréhendé quelques avantages que pourrait avoir l'association dans laquelle vous êtes impliqués à utiliser de plus en plus de logiciels libres. Voici rappelés les principaux généralement avancés :

  • sur le plan économique, les logiciels libres sont souvent gratuits une fois développés. Même si, l'effort de migration aura sans doute un coût, notamment, en raison du temps nécessaire pour permettre aux utilisateurs de l'association de changer leurs habitudes, l'intérêt du changement montrera généralement sa pertinence sur le moyen et long terme.
  • sur le plan "philosophique", et en particulier pour les associations d'Éducation Populaire, la valeurs intrinsèques portées par les Logiciels Libres, dont le capacité de partage sans entrave, rejoint la volonté de partage du savoir. Cela permet de faire bénéficier à une association, des développements d'autres communautés, structures ou individus.
  • l'indépendance vis-à-vis d'un éditeur est importante pour nos structures associatives : vous connaissez sans doute des exemples pour lesquels la structure s'est retrouvée "prisonnière" de l'éditeur car le format des données n'était pas transférable vers un autre logiciel. Il fallait payer une mise à jour ou un service pour pouvoir continuer à utiliser ses données dans de bonnes conditions. Le fait que le code ne soit pas "verrouillé" pour un logiciel libre permet ainsi de changer plus facilement de prestataire.
  • Dans la continuïté de cette logique, les formats ouverts utilisés par les logiciels libres permettent de garantir la pérennité des données : les archives de votre association pourront être relues dans 50 ans même si le logiciel libre qui a permis de les produire devait ne plus exister.
  • Ce sont ici les arguments principaux et d'autres encore existent et peuvent être retrouvés sur de nombreux sites Internet ou auprès d'utilisateurs de Logiciels Libres tels les GULL. Engager une démarche de migration dans votre association, c'est un investissement à moyen terme généralement en accord avec les valeurs de nos associations.
    • aborder la question des services en ligne,

À dissoudre pour en faire mention dans le contenu[modifier]

Gestion d'une caserne de pompiers ou d'une association de secouristes : eBrigade 
Gestion d'une radio associative : Rivendell et le module dédié de scénari (voir ci-dessous) 
Chaîne éditoriale de production de document : Scénarii 
Gestion d'un club sportif : PHPMySport