News education juillet 2011

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Gouvernance

Rapport Grosperrin

Rapport Grosperrin

Un député propose la suppression des concours enseignants

Publié le 30.06.1 sur le site web du journal Le Monde
Cette proposition a été adoptée, mercredi 29 juin, par la mission d'information "sur la formation initiale et les modalités de recrutement des enseignants". Dans son rapport, que Le Monde s'est procuré, Jacques Grosperrin estime que le concours n'a plus lieu d'être : "Il forme avec le master deux voies d'entrée dans le métier, parallèles et autonomes, aucune n'ayant prise sur l'autre". Il propose ainsi de dispenser les étudiants de concours. Diplômés d'un master 2, ils seraient recrutés "par les autorités académiques ou les établissements, sur la base d'un entretien professionnel", comme cela se pratique déjà dans plusieurs pays anglo-saxons.
Réf : http://www.lemonde.fr/education/article/2011/06/30/vers-la-suppression-des-concours-enseignants_1542856_1473685.html

Supprimer les concours de recrutement ? L’Education doit rester un service public de l’Etat !

Publié le 30 juin 2011 sur le site du SNES
Un recrutement local et personnalisé renforcerait non seulement les inégalités entre les établissements et les élèves mais ouvrirait la porte à une définition locale des exigences et des objectifs en terme d’enseignement.
Réf : http://www.snes.edu/Supprimer-les-concours-de.html

J. Grosperrin veut supprimer les concours de l'Éducation nationale !

Publié le 1er juillet 2011 sur le site Union syndicale de l'Education Nationale
Ce jour, a été publié un rapport du député UMP Jacques Grosperrin, déjà auteur de rapports rétrogrades pour l'Éducation Nationale. Ce député préconise de supprimer purement et simplement les concours enseignants. Diplômés d'un master 2, les étudiants seraient ensuite recrutés directement par les académies et les chefs d'établissement "sur la base d'un entretien professionnel". Pour le député UMP, c'est la conséquence logique de la réforme du recrutement et de la formation des enseignants...
Réf : http://www.unsen.cgt.fr//index.php?option=com_content&task=view&id=1071&Itemid=352

Enseignants. La fin des concours rejetée par l'Assemblée nationale

Source : Le Télégramme. 6 juillet 2011

Aujourd'hui, le rapport parlementaire sur la formation des enseignants, qui prône, à terme, la fin des concours de recrutement des professeurs, a été rejeté en commission à l'Assemblée nationale, ce qui est plutôt rare, des députés de la majorité ayant voté contre.

"La commission des Affaires culturelles et de l'Education a voté contre la publication du rapport d'information sur la formation initiale et le recrutement des enseignants", a-t-on appris à l'Assemblée. La raison principale en est l'opposition à la proposition - la 20e du rapport - selon laquelle les concours pourraient être remplacés à terme par le master et le recrutement des professeurs pourrait se faire au niveau des académies ou des établissements. Actuellement, le recrutement est national, sur la base de concours (professeurs des écoles, Capes et agrégation) qui permettent de devenir enseignant fonctionnaire.
Réf : http://www.letelegramme.com/ig/generales/france-monde/france/enseignants-la-fin-des-concours-rejetee-par-l-assemblee-nationale-06-07-2011-1362102.php

Programmes scolaires

Informatique et Sciences du numérique en TS

Informatique et Sciences du numérique : Un nouvel enseignement pour une nouvelle culture numérique ?

Publlié sur le site du "Café pédagogique le 1er juillet 2011

Interview de Robert Cabane, chargé de mission ISN, par François Jarraud du Café pédagogique.
A la rentrée 2012, l'enseignement de spécialité Informatique et sciences du numérique sera proposé aux lycéens de la filière générale S.
C'est une opération complexe puisqu'il s'agit d'un enseignement tout à fait nouveau, pour lequel il n'y a pas de corps professoral. Il fallait tout créer à partir de rien ce que l'éducation nationale n'avait pas fait depuis la création de l'enseignement de sciences économiques et sociales. Nous avons donc commencé par établir plusieurs partenariats forts : avec l’INRIA pour l’expertise, avec le CNDP pour l’ingénierie documentaire, avec la Suisse pour les compétences en didactique, avec l’association Pasc@line pour le contact avec le monde des entreprises. Et le groupe d’experts (DGESCO), présidé par Pascal Guitton (directeur de la recherche à l’INRIA) a beaucoup consulté avant de produire…
[...]
Le choix a été fait de ne pas créer une nouvelle discipline avec un nouveau corps professoral mais de s'appuyer sur les professeurs d'autres disciplines (STI , maths, physique) en les choisissant selon leurs compétences actuelles ou à venir. Les besoins vont dépendre des ouvertures dans les académies. Mais on table sur 500 à 2000 enseignants à la rentrée 2012.
Réf : http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2011/07/010711isn.aspx

Communiqué de l'EPI du 06-07-2011 sur l'enseignement de spécialité "Informatique et Sciences du numérique" en TS, à la rentrée 2012

À la rentrée 2012, l'enseignement de spécialité optionnel « Informatique et Sciences du numérique » sera proposé aux lycéens de terminale de la filière générale scientifique. L’association Enseignement Public et Informatique, dont chacun sait l’engagement et les nombreuses initiatives prises depuis des années en faveur de cette discipline scolaire (*) se réjouit de cette création. Pour l’EPI, depuis sa fondation en 1971, l’utilisation des ressources informatiques dans les différentes disciplines et l’enseignement de l’informatique sont deux démarches indispensables et complémentaires.

Le projet de programme comporte quatre grandes parties qui sont les domaines fondamentaux de la science informatique : Représentation de l'information, Algorithmique, Langages et programmation, Architectures matérielles (ordinateur, réseaux, initiation à la robotique). Les problématiques de nature sociétale, comme l'introduction aux questions de propriété intellectuelle et les licences logicielles, partie intégrante du programme, sont ancrées dans les contenus scientifiques.

Un certain nombre d’enseignants sont dès maintenant disponibles mais la réussite durable de cet enseignement passe par la formation de nouveaux enseignants. Plusieurs académies ont déjà mis en place des formations, d’autres devraient suivre. Des formations à distance peuvent être envisagées. Des ressources pédagogiques seront mises en ligne à la rentrée 2011. L’EPI y apportera sa contribution. Depuis plusieurs années déjà, elle anime sur son site une rubrique « Enseignement de l’informatique » régulièrement mise à jour (**). Dans quelques jours, va paraître le manuel pour la formation des professeurs « Introduction à la science informatique » dirigé par Gilles Dowek et édité par le CRDP de Paris. Il sera sous licence Creative Commons (paternité, pas d'utilisation commerciale, pas de modification). Gérard Berry, professeur au Collège de France, membre d’honneur de l’EPI, en a écrit la préface. Il compte dix sept auteurs, dont le président de l’EPI.

Les problématiques afférentes à l'immatériel et à l'informatique sont à la fois nombreuses, diverses et fondamentales. La société ne saurait se dispenser de donner à tous une solide culture générale scientifique en la matière. La création de cet enseignement d'informatique en terminale scientifique est une avancée qui va dans le bon sens.

Association Enseignement Public et Informatique (EPI)
Paris, le 6 juillet 2011

Rappel : Réponse de l'April à la consultation sur l'enseignement de spécialité « Informatique et sciences du numérique »

http://www.april.org/reponse-de-lapril-la-consultation-sur-lenseignement-de-specialite-informatique-et-sciences-du-numerique

L'Hadopi au brevet à l'épreuve d'éducation civique du brevet des collèges

Hadopi au brevet des collèges : des associations dénoncent

Publlié sur Numérama le 5 juillet 2011

L'April, Framasoft et Libre Accès ont dénoncé dans un communiqué la présence d'un document sur Hadopi dans l'épreuve d'histoire géographie et éducation civique du brevet des collèges 2011. Les trois associations en faveur du libre y voient une manœuvre du gouvernement pour faire la promotion du texte de loi au collège.br

La présence d'un document traitant de la loi Hadopi lors de l'épreuve d'histoire géographique et éducation civique du brevet des collèges 2011 n'a pas uniquement surpris les élèves. Elle a également étonné des associations connues pour leur engagement contre ce texte de loi. Dans un communiqué publié ce mardi, l'April, Framasoft et Libre Accès dénoncent une "manœuvre" destinée à évaluer les élèves sur la riposte graduée.
Réf : http://www.numerama.com/magazine/19258-hadopi-au-brevet-des-colleges-des-associations-denoncent.html

Communiqué de presse de l'April, Framasoft, Libre Accès : Le brevet des collèges, héraut de la campagne pub de la Hadopi

Communiqué de presse de l'April du 5 juillet 2011
Paris, le 5 juillet 2011 — Après avoir envahi la télévision, la radio, les magazines, les couloirs du métro et différents lieux publics, la loi Hadopi s'invite dans l'épreuve d'histoire géographie et éducation civique de la session 2011 du diplôme national du Brevet des collèges. Occasion parfaite pour évaluer si les élèves ont bien retenu la leçon du gouvernement : Hadopi, associée à une loi issue de la pression citoyenne, protège les œuvres culturelles. L'April, Framasoft et Libre Accès s'associent pour dénoncer la manœuvre.
Réf : http://www.april.org/le-brevet-des-colleges-heraut-de-la-campagne-pub-de-la-hadopi

Fichiers Base élèves et Livret personnel de compétences

Un printemps prometteur pour les opposants à base élève

Ligue des droits de l'Homme de Toulon, le 2 juillet 2011 Le Collectif national de résistance à Bases élèves (CNRBE) n’a pas encore trois ans. Mais le travail réalisé depuis novembre 2008 par ces parents d’élèves, enseignants ou simples citoyens, en lutte contre la soumission de l’école au despotisme des traitements numériques de données personnelles qui se mettent en place dans l’enseignement primaire, est spectaculaire.

La version de Base élèves 1er degré (BE1D) dont l’expérimentation a débuté en 2004, comportait des champs pouvant constituer une menace pour les enfants – pays d’origine, langue parlée à la maison, suivi RASED [1], etc … – ces données ont été supprimés à la suite de protestations. Mais il a fallu attendre le 1er mars 2006 pour que la Commission nationale informatique et libertés (CNIL) délivre un récépissé de la déclaration de BE1D. Celui de la Base – ou répertoire – nationale des identifiants élèves (BNIE) ne sera établi que le 27 février 2007.

La BE1D permet l’immatriculation dans la BNIE de chaque enfant dès l’âge de 3 ans, au moment de sa première inscription à l’école, par l’attribution d’un Identifiant national enfant (INE), pour une durée prévue de 35 ans. L’existence de l’INE rend aisé le “croisement ” de différents fichiers. D’autre part, un tel système permet de collecter et de tenir à jour différentes données personnelles pour chaque jeune, qu’il soit scolarisé ou en âge de l’être ; on imagine facilement que la connaissance de l’INE d’un élève permet de reconstituer un historique de son cursus scolaire.

Le CNRBE n’a pas pu empêcher la mise en place de ce système mais il est parvenu par sa vigilance – c’est là son immense mérite – à réaliser une veille qui lui a permis d’alerter l’opinion sur ses dangers. Il a ainsi contribué à la prise de conscience dans la population des risques du fichage administratif auquel nous sommes soumis de façon croissante.

La fin de l’année scolaire a apporté à ces militants des satisfactions que nous évoquons ci-dessous [2]. Elles concrétisent les résultats de leur action. Félicitons-les et souhaitons-leur bonne chance pour la poursuite de leur engagement !

Notes :
[1] RASED : Réseau d’aides spécialisées aux élèves en difficulté.
[2] Nous ne revenons pas ici sur l’action du CNRBE auprès des Nations Unies dont les observations finales du comité des droits de l’enfant ont rappelé au gouvernement français ses engagements en ce qui concerne le fichage des enfants.
[3] Référence : http://retraitbaseeleves.wordpress.com/2011/06/22/tgi-de-paris-parents-saisine-juge-instruction/
[4] Référence : http://retraitbaseeleves.wordpress.com/2011/06/17/paris-400-lettres-opposition-remises-au-rectorat/
[5] Référence : http://paris.eelv.fr/elus/?Voeu-relatif-a-l-application-Base

Réf : http://www.ldh-toulon.net/spip.php?article4526

La FSU appelle à boycotter le livret personnel de compétences

Publié dans La dépêche, le 3 juillet 2011
La FSU appelle à boycotter le livret personnel de compétences. « Nous refusons une mise en case des élèves. Il est antinomique avec la conception de la prise en charge des élèves du premier degré », indique Joëlle Noguère, déléguée SNUipp-FSU. « Nous en récusons l'existence. Nous avons été rejoints par le haut comité à l'éducation qui le qualifie d'ineptie pédagogique. La fédération des conseils de parents d'élèves a également pris position contre la mise en place de ce livret », indique Yves Bordedebat, délégué SNES-FSU.
Réf : http://www.ladepeche.fr/article/2011/07/03/1121025-education-les-voyants-sont-au-rouge-dans-le-departement.html

Trois syndicats à l’assaut du Livret personnel de compétences

Publié par retraitbaseeleves le 6 juillet 2011

Le LPC, livret personnel de compétences, vient de faire l’objet de plusieurs publications de vulgarisation que le CNRBE vous invite à consulter et à faire suivre autour de vous. Ce nouveau projet d’informatisation mis en place discrètement par le ministère de l’Education nationale, a fait l’objet d’intenses débats lors de nos dernières rencontres nationales de Paris.

Fin juin, c’est d’abord la section de Créteil de SUD Education qui a édité une brochure de 16 pages que l’on peut télécharger ici. Intitulée « Ne livrons pas les élèves au Livret de compétences », elle décrit tout l’historique du projet et se penche enfin sur la situation dans les collèges de l’Académie de Créteil.

Dans l’Isère, après l’excellent travail déjà effectué en avril par le Snuipp 38, ce sont trois autres formations syndicales — CNT Education, SUD Education et PAS 38 (Udas) — qui ont uni leurs forces pour rédiger une brochure et deux panneaux de synthèse fort instructifs. Reproduit ci-dessus : une carte synthétique qui remonte aux sources du LPC, c’est à dire aux programmes de l’OCDE et de la Commission européenne. Dossier découpé ainsi:

Réf : http://retraitbaseeleves.wordpress.com/


Régions

La Région Languedoc-Roussillon et le Rectorat boostent la réussite éducative en associant LoRdi et l’Environnement numérique de travail

Publlié sur le site du "Secteur public" le 1er juillet 2011
Pour faire entrer le Languedoc-Roussillon de plein pied dans le XXIème siècle, la Région mise sur l’économie de la connaissance comme axe de développement. Permettre l’accès aux TIC à tous et partout, tout en développant les usages, sont ses deux priorités. Education, enseignement supérieur, recherche, santé, culture et patrimoine… toute l’économie régionale est concernée. Ainsi, en dehors de la connexion de l’ensemble des lycéens par le biais de LoRdi, la Région apporte le haut et le très haut-débit aux établissements d’éducation, d’enseignement supérieur, de recherche et de santé, par le réseau R3LR.
[...]
A compter de la rentrée prochaine, la Région équipera gratuitement de LoRdi les 32000 élèves entrant en classe de seconde dans les lycées publics et privés du Languedoc-Roussillon.

Le choix de la Région s’est porté sur un ordinateur de gamme professionnelle, ultra léger, durable et ergonomique. Il sera équipé de logiciels libres : suite Open Office, navigateur Internet, utilitaires, antivirus, lecteur multimédia, etc. Une solution de sécurité antivol sera également incluse. Le matériel sera garanti pour une durée de 3 ans et un service après-vente prendra en charge les pannes matérielles (assistance technique de 8h à 18h).
Réf : http://www.secteurpublic.fr/public/article/la-region-languedoc-roussillon-et-le-rectorat-boostent-la-reussite-educative-en-associant-lordi-et-l%E2%80%99environnement-numerique-de-travail.html?id=50841&C5=269

Languedoc-Roussillon LoRdi, à son tour au tribunal

Source Midi Libre, publié le 1er juillet 2011

Nouvel appel d’offres contesté pour la Région Languedoc-Roussillon, avec le référé de la société SCC qui a porté devant le tribunal administratif de Montpellier le choix du gardois RDI pour LoRdi, le "cartable numérique".

Un marché de 48 M€ sur trois ans, pour lequel le conseil régional a fait le choix de RDI "en raison d’une offre largement supérieure sur le plan technique, de la distribution et du service après-vente", a assuré l’avocat de la Région, Me Jean- Philippe Meneau. Publicité

Me Jeanjean, au nom de SCC, a demandé la suspension de l’exécution du marché, jugeant qu’il existe un "doute sérieux" sur l’attribution du marché, insistant sur un coût supérieur de 4 M € par an pour la solution RDI. Mais le prix n’entrait que pour 35 % dans la décision, contre 65 % pour la "valeur technique". Et selon Me Meneau, le prix n’est pas déterminant mais "l’offre économique la plus avantageuse".

L’affaire a été mise en délibéré au début de la semaine prochaine.
Réf : http://www.midilibre.fr/2011/06/30/lordi-a-son-tour-au-tribunal,346666.php

Monde

Corée du Sud : le manuel scolaire est mort, vive la tablette !

Source Télé Satellite, publié le 4 juillet 2011, d'après un article paru sur http://www.idboox.com

C'est bientôt la fin des bons vieux manuels scolaires en Corée du Sud, ils seront remplacés par des livres numériques d'ici 2015.

Le gouvernement sud-coréen a lancé un vaste chantier de modernisation de ses écoles. 2 milliards de dollars doivent être investis dans le développement des manuels scolaires numériques. Dans les écoles, le matériel traditionnel sera remplacé par des tablettes. Les écoliers obligés de rester chez eux pourront également rattraper leur retard en travaillant à distance. Ils pourront, par exemple, participer à des cours de mathématique ou encore lire des leçons. Aux Etats-Unis, différents Etats comme la Floride sont également sur le point de basculer vers le livre numérique dans les écoles.

Réf : http://www.telesatellite.com/actu/tp.asp?tp=40577

Economie numérique : La France renforce son partenariat avec la Tunisie

Source Clubic, Publiée par Olivier Robillart le Mardi 5 Juillet 2011

Les deux gouvernements annoncent avoir signé deux accords portant sur le développement du secteur des nouvelles technologies. Eric Besson, ministre de l'Economie numérique et son homologue tunisien, Abdelaziz Rassaa, ont donc mis sur pied une coopération gouvernementale dans le domaine du logiciel libre et de la formation au numérique. [...]
Précisément, cet accord va permettre à la France et à la Tunisie d'organiser des « rencontres franco-tunisiennes du logiciel libre dès l'automne prochain en Tunisie ». Dans la foulée, un ensemble de décisions devraient être prises afin de « faciliter de circulation pour la mobilité circulaire et professionnalisante des jeunes, la mobilisation des appels à projets lancés dans le cadre de la politique des pôles de compétitivité et la demande adressée à la Commission Européenne de lancer un appel d'offres pour des projets de R&D associant les deux rives de la Méditerranée

Réf : http://pro.clubic.com/actualite-e-business/actualite-433084-economie-numerique-france-renforce-partenariat-tunisie.html