Discussion:Formats ouverts, pour quoi faire

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Ce qui est rayé à été pris en compte dans le texte.

Finalisation novembre 2011[modifier]

- Dernier paragraphe : "vos document" (manque le "s")

- Avant-dernier paragraphe : Informez-vous des formats ouverts existant (manque un "s" à "existant") --[antoine] 28 septembre 2011 à 11:07 (CEST)

Historique des corrections[modifier]

il y a un problème de prénom dans la "bulle 2" en haut. Il y a carole et Alice, or dans le dessin, c'est un homme et une femme. Il faudrait avoir deux nouveaux prénoms car les têtes ne ressemblent pas aux deux autres bulles

Apitux[modifier]

éviter absolument l'usage du terme pirater qui désigne des actes illégaux pratiqués en haute mer. préférer : contrefaçon, utilisation illégale --Apitux 31 janvier 2011 à 15:40 (CET)

 corrigé, merci.--[antoine] 31 janvier 2011 à 18:45 (CET)

Schéma 1[modifier]

je pense que le format ouvert ne devrait pas reprendre la couleur d'un des logiciels mais plutôt soit blanc, soit "arc en ciel" pour montrer qu'il est indépendant. --Apitux 31 janvier 2011 à 15:40 (CET)

 Effectivement ce serait mieux.--[antoine] 31 janvier 2011 à 18:45 (CET)

légende du schéma pérennité[modifier]

Schéma pérennité des données : Légende à retravailler à mon avis.

C'est en place--[antoine] 4 février 2011 à 15:11 (CET)

l'emploi de notations "mathématiques" : logiciel (X), logiciel (Y), format ouvert (O) ne risque t-il pas d'effrayer/de décourager certains lecteurs ? -> préférer l'emploi de couleurs ou de pictos intégrés dans le texte ?

 Ça devrait se résoudre si on place les 6 points directement dans le schéma à coté des parties concernés. Ce qui permettrait d'enlever les X,Y,Z…

est-ce qu'on ne pourrait pas essayer d'être un peu plus concrets ? pour une raison quelconque -> en raison d'une décision unilatérale de l'éditeur, vos données -> votre dossier, vos photos...

--Apitux 4 février 2011 à 16:59 (CET)

Dans le petits topo avant le schéma j'ai un peu détaillé la notion de fin de vie d'un logiciel : "Je conserve des fichiers :
…L'entreprise ne distribue plus le logiciel, ne souhaite pas l'adapter aux récentes évolutions de l'informatique, ou elle peut 
tous simplement avoir mis la clé sous la porte. Etc…"on peut l'intégrer dans le schéma 
"vos données -> votre dossier, vos photos... ". On peut faire un exemple plus concret en  
utilisant un cas de figure précis, comme un traitement de texte ou un logiciel d'imagerie, qui   colle avec le propos et qui  
serait plus près des contraintes vécus par les utilisateurs.

--[antoine] 4 février 2011 à 18:27 (CET)

Partie modifiée avec un traitement de texte et un cv comme support de discutions. Je placerais les textes à coté des graphismes (années). "Les bulles de commentaires" ne sont pas sur le schéma.--[antoine] 8 février 2011 à 13:05 (CET)

Lionel[modifier]

Merci Antoine pour cette proposition très sympathique.

Introduction[modifier]

Dans l'Introduction, la première phrase "Lorsque vous enregistrez un document sur votre ordinateur celui-ci prend la forme d'un fichier." ne me semble pas tout a fait exacte. Je propose "Lorsque vous enregistrez un document sur votre ordinateur ou votre téléphone celui-ci est placé dans un fichier."

Le terme "spécificités" semble complexe a comprendre pour un béotien. A remplacer par exemple par "détails" ou "organisation".

Ok, j'ai modifié cette partie
  • Remplacer par
 "Si les détails techniques de ce format sont connus, documentés et utilisables 
 par tous, c'est un format ouvert."
 par 
 "Si la description de ce format est connue, documentée et utilisable par tous, 
 c'est un format ouvert."?

2e cas de figure[modifier]

"Il n'a pas d'autre solution que d'acquérir* le logiciel" : Ce n'est même pas toujours possible. Essayez d'acheter MS Word pour un système Gnu/Linux :-) On peut essayer la rédaction suivante : "Il doit alors essayer d'acquérir* le logiciel (X) sans certitude qu'il fonctionnera sur son ordinateur"

Modifié, je laisse ordinateur. Système d'exploitation est plus juste mais pas forcément clair pour les néophytes. A voir.
Merci, je pense qu'il faut éviter les termes OS et système d'exploitation dans un document grand public en effet. lallorge 6 février 2011 à 16:20 (CET)

François[modifier]

Interopérabilité != format ouvert[modifier]

Depuis longtemps, les formats ouverts sont clairement apparus insuffisant à nos yeux. Par exemple OOXML est à peu près un format ouvert, stricto sensu.

  • Un format peut être ouvert mais non intéropérable (OOXML).
  • Un format peut être fermé mais non intéropérable (doc).
  • un format peut être propriétaire mais interopérable (PDF pendant
 longtemps).

Ceci étant, pour être interopérable un format a nécessairement besoin d'être ouvert.

Par ailleurs, la réduction à la question de l'ouverture est une simplification qui peut se défendre en première approche, dans le cadre strict de la vulgarisation. C'est une question à laquelle je n'ai pas spontanément de réponse, même si je préfère assez naturellement le cas le plus précis (l'interopérabilité).

La question pose néanmoins un problème linguistique : il y a une difficulté à parler de format « non interopérable ». Je ne connais pas de mot qui porte précisément cette notion.

Je ne sais pas spontanément ce qui est le mieux, mais dans tous les cas il faudrait parler amha d'interopérabilité dans le document, en disant que ça se repose sur les formats ouverts (et quelques autres critères). Pour les aspects techniques, lire par exemple le brouillon de synthèse : http://wiki.april.org/w/Synthèse_interopérabilité

Commentaires divers[modifier]

  • « Si les détails techniques de ce format sont connus »
 Il faut mieux parler amha de description : la question du format n'est
 pas fondamentalement technique une question technique. Cf
 http://michelvolle.blogspot.com/2010/03/instruire-et-informer.html
  • « couverte par des brevets »
 Je serait d'avis soit de laisser les brevets en dehors de
 l'introduction (concentrer alors sur l'ouverture), soit de ne pas les
 mentionner sans en parler plus en détail. Car leur rôle est assez
 complexe (réintroduire l'excluabilité de l'information) et amha il
 est malvenu ou dangereux pour notre message de les mentionner sans
 détail.
  • « alors le format est fermé ou propriétaire »
 Un format propriétaire est seulement un format dont la gouvernance
 n'est pas ouverte et démocratique : il est la propriété d'une firme.
 Mais ça ne nuit pas nécessairement à son ouverture et son
 interopérabilité (même si une gouvernance ouverte donne des
 garanties en la matière).
  • « qui possède le même logiciel »
 Amha tu peux ajouter « dans la même version ». Parce que entre
 Office 97 et Office d'aujourdhui ...
  • « toujours un texte »
 La mention est un peu redondante, et n'apporte pas grand chose amha.
  • « pourront être ouverts facilement »
 Pourront être lus facilement, amha. De manière générale, il faut amha
 préférer « lire » un document que « ouvrir » un fichier ... ça
 éloigne de la technique et ça rapproche de ce qui est important :
 l'information.
  • « Favorisent la concurrence en ne favorisant pas ... »
 Autorisent/permettent la concurrence ...
  • « vous pourrez le rouvrir ultérieurement »
 Le relire ultérieurement (même remarque que précédemment).
  • Dans « Inconvénients des formats fermés » : amha il faudrait
 mentionner le point développé plus loin : les formats fermés excluent
 les logiciels libres et obligent les destinataires à acquérir les
 mêmes logiciels que vous.
  • Sur le schéma 2, préférer « données perdues ! » à « données
 inaccessibles ». C'est à peine exagéré.

* « Ils peuvent (<= suis pas sure que le verbe pouvoir est le bon)

 difficilement être modifiés insidieusement puisqu'ils peuvent être
 vérifiés facilement. »
 Il me semble que tu peux simplement dire que du fait que le format
 est accessible sans restriction, il est facilement soumis à la
 vigilance de nombreux acteurs pour garantir sa sécurité (garantir
 qu'il ne soit pas utilisé insidieusement).
  • Dans le paragraphe : « Logiciels libres et formats ouverts, le duo
 parfait ! », je pense qu'il serait intéressant de mentionner
 également que comme les logiciels libre, les formats interopérables
 n'excluent personne : il sont à disposition de tous.

formats ouvert /interopérabilité

  • En y réfléchissant un peu plus, je dirais qu'il faut l'aborder en
 introduction et conserver les deux. Car il y a des détails techniques
 incontournables, que tu abordes, qui sont directement relatifs à
 l'ouverture. Et comme tu dis, c'est plus simple.
  • L'interopérabilité permet :
 1) de n'exclure aucun éditeur ou utilisateur de logiciel ;
 2) de garantir la pérennité des données.
 Elle repose sur :
 1) l'utilisation de formats ouverts ;
 2) que le format soit maintenu sur la base d'un processus de décision
 ouvert à tous ;
 3) pas de coût marginal de mise en oeuvre ; les éventuelles licences de
 brevet doivent être cédées irrévocablement par leur détenteur ;
 4) pas de restriction à la réutilisation.
  • Lorsque ces éléments sont réunis, on parle généralement de « standard
 ouvert » (au moins dans le contexte international) mais ce terme est un
 peu bancal en français : le terme « standard » possède plusieurs sens
 et est sujet à interprétation ; idem pour le terme norme : ça a un sens
 lié à la « labélisation », mais ça a aussi un sens liée à la
 « popularité » ... le .doc est « populaire » (au sens de répandu).


  • Ensuite, dans le contexte où tu parles de d'échange (schémas 1 et 2,
 le paragraphe de conclusion), je suggère de rester sur ce terme.
 Du coup ça clarifie également la relation brevet/format ouvert.

 Dans le contexte où tu parles d'avantage de technique (avantages /
 inconvénients), je suggère de parler de format ouverts car c'est
 plus en lien avec ça amha.

* concurence

 Je remarque après coup une petite suggestion : pour varier sur la
 notion de « concurrence » qui a beaucoup d'acceptions différentes,
 parler aussi de « liberté de choix ».

Sébastien[modifier]

Par contre, je dois bien avouer que le texte actuel me laisse perplexe car je ne suis d'accord ni avec la liste des avantages supposés des formats ouverts, ni avec celle des inconvénients supposés des formats fermés :

  • De manière globale, les termes « garantir » et « garantie » sont utilisés de manière bien trop péremptoire. Personnellement, je me garderai bien de garantir quoi que ce soit, y compris avec des formats ouverts.
  • Les formats ouverts permettent l'interopérabilité des logiciels et s'avèrent plus pérennes que les formats propriétaires (cf. (La)TeX/Doc).
  • Les formats ouverts ne garantissent nullement qu'un fichier ne contient pas de virus ou d'informations confidentielles car, d'une part, les logiciels libres sont tout autant susceptibles de failles que les logiciels propriétaires et, d'autre part, ils tendent à fournir les mêmes fonctions (il est par exemple possible, tout en utilisant le format ODT, d'enregistrer l'historique des modifications d'un texte et de permettre ainsi à un tiers de découvrir qu'un rapport publié par un certain José Manuel Barroso a en grande partie été rédigé par un certain Steve Ballmer).
  • Je sais ce qu'est l'interopérabilité des logiciels mais je ne sais pas ce qu'est l'interopérabilité des formats. Par contre, il est clair qu'il est plus aisé pour un développeur de convertir un document d'un format ouvert vers un autre que d'un format fermé vers un autre.

Pour résumer, un format ouvert présente l'avantage d'être librement implémentable dans tout logiciel et donc de rendre les logiciels interopérables tout en favorisant la pérennité des documents. À mon sens, c'est déjà pas mal et surtout, c'est déjà bien plus que ce que permettent les formats fermés.

Sinon, un format ouvert qui parle à tout le monde est HTML. Je vais faire hurler les puristes et bondir les concepteurs de sites web mais vous conviendrez avec moi que - globalement - lorsque vous créez une page HTML, vous n'avez pas à vous soucier du navigateur utilisé par les personnes qui vont consulter vos pages. Libre à elles d'utiliser Firefox, Internet Explorer, Opera, Safari, Konqueror ou ELinks en fonction des logiciels disponibles sur leur poste de travail et de leurs préférences personnelles. Dans la même veine, le logiciel que j'utilise pour consulter et envoyer mon courrier est Mutt et peu m'importe si les correspondants utilisent Outlook, GMail, Thunderbird, Evolution ou Gnus car tous ces logiciels comprennent le format ouvert d'échange.

J'ai essayé de corriger en fonction de tes remarques. Tu as des arguments plus précis sur les inconvénients ?--[antoine] 29 mars 2011 à 14:43 (CEST)

Discussion sur la terminologie[modifier]

Les définitions[modifier]

Définition légale en France de standard ouvert :

« On entend par standard ouvert tout protocole de communication, d’interconnexion ou d’échange et tout format de données interopérable et dont les spécifications techniques sont publiques et sans restriction d’accès ni de mise en œuvre. » (Article 4 de la loi n° 2004-575 du 21 juin 2004 pour « la confiance dans l’économie numérique »)

Sur le site openformats.org :

Dans Wikipédia :

Lionel[modifier]

On parle de "logiciel libre" mais c'est en fait un raccourci pour "logiciel diffusé sous une licence garantissant à l'utilisateur les 4 libertés fondamentales". Pour les formats c'est différents puisqu'ils font généralement l'objet de normes internationales ou d'une RFC et ne sont donc pas publiés sous une licence libre. Donc je ne comprend pas bien le sens de "format libre" car alors chacun pourrait modifier le format a sa sauce rendant celui-ci non interopérable. On parle de "format ouvert" car les spécifications sont publiques et non soumises a des restrictions genre brevets. L'accès au format est donc ouvert. Voir : http://www.openformats.org/fr1