Différences entre les versions de « Libre à vous ! Radio Cause Commune - Transcription de l'émission du 7 mai 2019 »

De April MediaWiki
Aller à la navigationAller à la recherche
Ligne 114 : Ligne 114 :
 
Y a des apéros April qui vont arriver en mai. Le prochain c’est le 16 mai à Montpellier, le 17 mai à Marseille, à Paris au local de l’April c’est le 31 mai. Donc évidemment vous êtes toutes et tous les bienvenu.e.s même si vous n’êtes pas membre de l’April. Pour participer à ces apéros – à Montpellier vous aurez peut-être l’occasion de rencontrer Antoine Bardelli vu qu’il habite cette jolie ville.
 
Y a des apéros April qui vont arriver en mai. Le prochain c’est le 16 mai à Montpellier, le 17 mai à Marseille, à Paris au local de l’April c’est le 31 mai. Donc évidemment vous êtes toutes et tous les bienvenu.e.s même si vous n’êtes pas membre de l’April. Pour participer à ces apéros – à Montpellier vous aurez peut-être l’occasion de rencontrer Antoine Bardelli vu qu’il habite cette jolie ville.
  
En mai nos camarades d’Ubuntu France organisent l’Ubuntu partie à Paris les 18 et 19 mai. Donc je crois – je demande confirmation à Isa – que nous aurons un stand de l’April. Donc vous pourrez rencontrer les joyeux membres de l’April et l’équipe et pour tous les autres événements vous allez sur le site de l’Agenda du libre agendadulibre.org.  
+
En mai nos camarades d’Ubuntu France organisent l’Ubuntu partie à Paris les 18 et 19 mai.Nous aurons un stand de l’April. Donc vous pourrez rencontrer les joyeux membres de l’April ainsi que l’équipe et pour tous les autres événements vous allez sur le site de l’Agenda du libre agendadulibre.org.  
  
 
Nous avons mis en ligne une bande annonce avec différentes voix, ma voix, celle d’Isabella Vanni, celle de Étienne Gonnu, celle de Vincent Calame et celle de Noémi Berger qui travaille au cabine Dune avec Olivier Hugo. N’hésitez pas à la diffuser elle dure 1mn30, c’est la bande annonce de l’April et je voulais en parler car la semaine dernière on l’a diffusée et j’ai oublié de remercier P.G. qui est un membre,sur le salon webchat de la radio et qui a fait le montage de l’émission, de la bande annonce donc je le remercie vraiment.
 
Nous avons mis en ligne une bande annonce avec différentes voix, ma voix, celle d’Isabella Vanni, celle de Étienne Gonnu, celle de Vincent Calame et celle de Noémi Berger qui travaille au cabine Dune avec Olivier Hugo. N’hésitez pas à la diffuser elle dure 1mn30, c’est la bande annonce de l’April et je voulais en parler car la semaine dernière on l’a diffusée et j’ai oublié de remercier P.G. qui est un membre,sur le salon webchat de la radio et qui a fait le montage de l’émission, de la bande annonce donc je le remercie vraiment.
  
 
Bande annonce
 
Bande annonce

Version du 9 mai 2019 à 14:27


Titre : Émission Libre à vous ! diffusée mardi 7 mai 2019 sur radio Cause Commune

Intervenants : Jean-Christophe Becquet -

Lieu : Radio Cause Commune

Date : 7 mai 2019

Durée : 1 h 30 min

Écouter ou télécharger le podcast

Page des références utiles concernant cette émission

Licence de la transcription : Verbatim

Illustration :

NB : transcription réalisée par nos soins, fidèle aux propos des intervenant·e·s mais rendant le discours fluide.
Les positions exprimées sont celles des personnes qui interviennent et ne rejoignent pas nécessairement celles de l'April, qui ne sera en aucun cas tenue responsable de leurs propos.

Statut :

Transcription

Voix off : Libre à vous !, l’émission pour comprendre et agir avec l’April, l’association de promotion et de défense du logiciel libre.

Frédéric Couchet : Bonjour à toutes. Bonjour à tous. Vous êtes sur la radio Cause Commune 93.1 en Île-de-France et partout dans le monde sur le site causecommune.fm. La radio dispose d’un webchat, donc utilisez votre navigateur libre préféré, rendez-vous sur le site de la radio cause commune.fm et vous pouvez nous rejoindre sur le salon dédié à l’émission.
Nous sommes mardi 7 mai 2019, nous diffusons en direct, mais vous écoutez peut-être un podcast ou une rediffusion.
Soyez les bienvenus pour cette nouvelle édition de Libre à vous !, l’émission pour comprendre et agir avec l’April, l’association nationale de promotion et de défense du logiciel libre. Je suis Frédéric Couchet, son délégué général.
Le site web de l’April c’est april.org et vous y retrouvez déjà une page consacrée à l’émission avec un certain nombre de références que nous allons citer au cours de l’émission et évidemment les références seront mises à jour après l’émission. N’hésitez pas à nous faire des retours à la fois sur ce qui vous a plu, des questions mais aussi des points d’amélioration.
Je vous souhaite une excellente écoute.

Nous allons passer maintenant au programme de l’émission.
Nous allons commencer dans quelques secondes avec la chronique de Jean-Christophe Becquet, président de l’April, chronique intitulée « Pépites libres ». Normalement Jean-Christophe est avec nous par téléphone. Bonjour Jean-Christophe.

Jean-Christophe Becquet : Bonjour Fred. Bonjour à tous.

Frédéric Couchet : On se retrouve dans quelques secondes. D’ici une quinzaine de minutes notre sujet principal portera sur les licences libres avec Mélanie Clément-Fontaine et Oliver Hugot que je présenterai plus en détail tout à l’heure.
En fin d’émission nous aurons la chronique d’Isabella Vanni, « Le libre fait sa comm’ », avec une interview téléphonique de notre graphiste bénévole préféré, Antoine Bardelli.
Et à la réalisation de l’émission aujourd’hui, Patrick Creusot. Bonjour Patrick.

Patrick Creusot : Bonjour tout le monde.

1’ 49 Chronique « Pépites libres » podcast 11 min

Frédéric Couchet : Tout de suite place au premier sujet. Nous allons commencer par une intervention de Jean-Christophe Becquet. Jean-Christophe est président de l’April. Sa chronique s’intitule « Pépites libres ». Jean-Christophe nous présente, dans le cadre de ses chroniques, une ressource disponible sous licence libre – vous apprendrez tout à l’heure ce que c’est qu’une licence libre plus en détail – texte, image vidéo ou base de données, sélectionnée pour son intérêt artistique, pédagogique, insolite, utile et les auteurs de ces pépites ont choisi de mettre l’accent sur les libertés accordées à leur public via une licence libre.
Quel sujet souhaites-tu aborder aujourd’hui dans le cadre de cette chronique Jean-Christophe ?

Jean-Christophe Becquet : Aujourd’hui, je propose de vous parler des ressources libres pour la formation en ligne. En effet, l’offre de formation en ligne s’est considérablement développée ces dernières années, notamment à travers les MOOC pour Massive Open Online Course ou CLOM en français, Cours en Ligne Ouverts Massifs. Plusieurs plateformes proposent donc des cours en ligne, souvent gratuits et ouverts à tous, mais pas libres. Je veux dire par là que la licence appliquée aux ressources pédagogiques qui composent la formation n’est pas une licence libre. On peut donc suivre la formation, mais on ne peut pas réutiliser librement les textes, les illustrations, les enregistrements audio et les vidéos pour partager à notre tour ce que l’on a appris.

Prenons par exemple la plateforme FUN-MOOC qui héberge des formations en ligne pour plus de 50 établissements d’enseignement supérieur, en France et dans le monde. Lancée par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche en 2013, cette plateforme affiche l’objectif de « diffuser la connaissance au plus grand nombre ». On peut s’y former en mathématiques, en physique, en biologie, en médecine, en linguistique, en économie, en informatique, etc. Leur site fait état d’un million d’inscriptions à 150 cours en ligne. Les briques qui composent ces cours sont le plus souvent sous licence Creative Commons. Mais contrairement à une idée reçue, toutes les licences Creative Commons ne sont pas libres. En l’occurrence, la licence Creative Commons BY-NC-ND, utilisée pour la plupart des ressources, n’est pas libre. D’abord, elle interdit l’utilisation commerciale, NC, ce qui est contraire à la liberté de copier et de réutiliser sans aucune restriction et pour quelque usage que ce soit. Ensuite elle interdit la modification, ND, une autre liberté fondamentale héritée du mouvement pour le logiciel libre. Pour bien comprendre, on pourra lire l’excellent article d’Alexis Kauffman sur le Framablog « Dis papa, c’est quoi une œuvre culturelle libre ? » Je donne la référence de cet article sur la page de l’émission.

C’est donc assez naturellement que je reprendrai ici l’appel de l’April : « Libérez vos œuvres, publiez sous licence libre ». Pour libérer vos savoirs, optez pour une licence libre, par exemple la licence Creative Commons BY-SA. La clause de partage à l’identique, SA, permet la réutilisation et la modification de votre travail, mais vous assure en retour de profiter des versions modifiées sous la même licence et donc avec les mêmes libertés. Dans la philosophie du Libre, c’est ce que l’on appelle le copyleft. Et comme dit le juriste Eben Moglen, cette hérédité de la licence « crée un pot commun auquel chacun peut ajouter quelque chose mais duquel personne ne peut rien retirer. » Je veux surtout dans cette chronique mettre en avant des ressources libres. Je vous propose donc de terminer avec une sélection de formations en ligne pour lesquelles les auteurs ont fait le choix d’une licence libre. Commençons par nos amis de Wikimédia France avec le WikiMOOC, une formation en ligne qui se propose de vous apprendre à contribuer sur Wikipédia. Cette formation est disponible sous licence libre Creative Commons BY-SA, la même que pour l’encyclopédie libre. On trouve aussi une formation « Apprendre à coder avec Python » de l’Université Libre de Bruxelles sous la même licence. Ou encore « S’initier à l’enseignement en Sciences Numériques et Technologie » proposée sous licence Creative Commons BY par l’Inria pour les enseignants.

Il n’est pas surprenant que les auteurs qui partagent leurs cours sous licence libre exercent dans des domaines liés à l’informatique. En effet, historiquement les licences libres ont été inventées pour les logiciels avant d’être adaptées pour s’appliquer à d’autres ressources comme les textes, la musique, les images ou la vidéo, objets de cette chronique « Pépites libres ». Il en existe sûrement d’autres mais le site FUN-MOOC ne permet pas de faire une recherche par licence.

Signalons enfin qu’on trouve d’autres plateformes de formation sous licence libre, c’est le cas par exemple de TelaFormation de l’association Tela Botanica qui vous propose d’apprendre la botanique et qui a fait le choix de la licence libre Creative Commons BY-SA.

Frédéric Couchet : Écoute, merci Jean-Christophe. En plus c’est une excellente introduction pour le sujet d’après. Tu as cité des mots qui seront encore plus détaillés, notamment la notion de copyleft ou gauche d’auteur ; tu as cité Eben Moglen qui est un juriste qui a beaucoup travaillé avec la Fondation pour le logiciel libre.
Juste peut-être quelque précisions que je notais en t’entendant. Tu as parlé de l’absence de moteur de recherche sur les licences. Ça m’a fait penser, tu as sans doute vu l’annonce de Creative Commons qui vient de mettre en version on va dire production son outil de recherche d’images libres et il y a un critère de choix par rapport aux licences. Je crois de mémoire qu’il y a 300 millions d’images maintenant, c’est sur le site de Creative Commons, c’est commons.org [search.creativecommons.org/]. Il y a le moteur de recherche ; vous pouvez faire des recherches par types d’images et par licence. Tu as parlé de Wikipédia ; j’invite les personnes qui nous écoutent à réécouter les deux émissions que nous avons consacrées à Wikipédia récemment. Vous les trouvez sur le site de l’April.
Peut-être préciser sur le fonctionnement des MOOC, il nous reste un petit peu de temps, ce sont des Cours en Ligne Massifs, donc avec beaucoup de personnes et le principal outil pour contribuer à ces cours, pour participer, en fait c’est Internet. C’est-à-dire que ce ne sont pas des cours en présentiel.

Jean-Christophe Becquet : Tout à fait. Il s’agit de cours en ligne. En fait on s’inscrit sur une plateforme et on a accès à des ressources éditorialisées, souvent à un support au format texte illustré par des images, des photos. Et puis souvent, intercalées dans ce cours, soit des interventions sous forme audio et souvent des vidéos. Typiquement un enseignant qui fait son cours en amphi, on le filme et on met à disposition la vidéo. Souvent c’est le cas de la plateforme FUN-MOOC. Ces formations en ligne sont d’accès gratuit, ouvertes à tous ; on peut s’inscrire très simplement, il suffit d’une adresse e-mail pour créer un compte. Simplement on ne peut pas ensuite réutiliser les ressources qui constituent ces formations, ce qui me semble extrêmement dommage parce qu’on peut penser que la volonté de la plupart des formateurs, enseignants et structures d’enseignement qui ont ouvert un cours sur cette plateforme, que leur volonté c’est de toucher le plus grand nombre possible de personnes. En optant pour une licence qui n’est pas libre, donc avec la restriction de l’utilisation commerciale, la restriction des modifications, eh bien on se prive d’un impact supplémentaire de ces formations. Par exemple je veux proposer une formation dans laquelle je veux emprunter des ressources dans différentes formations en citant à chaque fois les auteurs d’origine pour éditorialiser un contenu adapté par exemple à un public particulier ou à un objectif précis de formation, eh bien avec ces licences, je ne peux pas le faire ou en tout cas j’aurai des restrictions. C’est pour ça que vraiment, dans le monde de l’enseignement et de la formation où on est dans un objectif de partage des savoirs, les licences libres sont particulièrement adaptées pour les contenus et de ressources pédagogiques.

Frédéric Couchet : Tout à fait. Pour finir tu as parlé des ressources. On va peut-être dire un mot des plateformes qui sont derrière. La plupart sont des plateformes privatrices. Par contre il existe des plateformes libres ; je ne sais pas si tu comptais en compter une ou si je le fais ?

Jean-Christophe Becquet : On peut parler d’une plateforme comme Moodle. Est-ce que c’est à celle-là que tu pensais ?

Frédéric Couchet : Effectivement il y a Moodle. Je pensais aussi à Chamilo qui est une plateforme libre. Il faut préciser que ces plateformes qui permettent d’héberger des MOOC, on ne parle pas de la ressource mais de la plateforme pour héberger des MOOC, sont développées sous licence libre pour donner, en fait, aux personnes et organisations la possibilité d’organiser des MOOC notamment à un coût accessible à la fois dans un esprit, on va dire, de responsabilité sociale et de développement d’un patrimoine commun et public tout en étant des outils de qualité. Ce n’est pas parce que c’est libre que ce n’est pas de qualité. Ce sont des fois des outils qui sont même supérieurs, en termes de fonctionnalités, à des outils privateurs. Je voulais effectivement citer Moodle, Chamilo ; il en existe sans doute d’autres. En tout cas ça permet à des gens qui veulent mettre en place des MOOC, donc des formations, d’utiliser des outils libres de A à Z, à la fois en termes plateformes et en termes ressources.

Jean-Christophe Becquet : Tout à fait. Comme les logiciels qui font fonctionner ces plateformes sont développés selon les modèles des développeurs de logiciels libres, souvent il y a une meilleure prise en compte des attentes des enseignants, des formateurs et des organismes de formation qui veulent publier des MOOC. Effectivement ce sont de très bons outils. Ce qu’on peut espèrer c’est d’avoir à la fin des chaînes complètes de plateformes qui seraient mises en œuvre avec des logiciels libres, dont les ressources seraient sous licence libre. Donc là on serait complètement dans l’esprit de la chronique « Pépites libres » et de ce qu’on promeut l’April.

Frédéric Couchet : Tout à fait. Pour relayer une sorte de question sur le salon web de la radio : par qui sont financés les divers MOOC ? Pour répondre très rapidement, évidemment les MOOC sont financés par des structures privées. Par contre, évidemment, quand c’est financé par nos impôts, par exemple des MOOC de collectivités publiques, collectivités locales ou autres, naturellement comme ce sont des impôts, c’est de l’argent public, le choix à la fois de la plateforme libre et des ressources libres devrait s’imposer. Jean-Christophe ?

Jean-Christophe Becquet : Oui. Tout à fait, je te rejoins là-dessus. Dans le cas de la plateforme MOOC par exemple, comme je l’ai dit, c’est une initiative du ministère de l’Enseignement supérieur qui met à disposition cette plateforme pour une cinquantaine d’organismes, d’écoles et d’universités en France et dans le monde. Il y a un intérêt à cette plateforme c’est la mutualisation de la ressource, la ressource logicielle, l’hébergement, mais bien sûr, s’agissant de financer avec de l’argent public, on ne peut que souhaiter que ce soit fait avec des logiciels libres et que les ressources soient sous licences libres.

Frédéric Couchet : Écoute merci Jean-Christophe. Je te remercie pour cette chronique qui sert en plus d’excellente introduction au sujet suivant. On va se retrouver le mois prochain pour une prochaine chronique « Pépites libres ». Nous te souhaitons de passer une agréable journée.

Jean-Christophe Becquet : Entendu. Merci. Bonne suite d’émission et au mois prochain.

Frédéric Couchet : Merci. À Bientôt.
Nous allons faire une pause musicale, évidemment une pause musicale libre. Le morceau s’appelle Summer Lies par Texas barbudos et on se retrouve juste après.

Voix off : Cause Commune 93.1

Pause musicale : Summer Lies par Texas barbudos.

Les licences libres podcast 48 min

Pause musicale

Chronique « Le libre fait sa comm' » podcast13 min

Pause musicale

Annonces podcast 3 min

Frédéric Couchet : Alors nous allons passer à la partie annonces du jour.

Arte qui met vraiment les grands grands grands moyens pour faire connaître le logiciel libre et aussi le partage du savoir libre car Arte diffuse ce soir en avant-première, en tous cas pour la première diffusion, le documentaire de Philippe Borrel « Internet ou la révolution du partage » qui est la version courte de son film la « Bataille du logiciel libre ». On dit qu'ils mettent les grands moyens parce que la diffusion est le mardi 7 mai 2019 à 23h55 donc évidemment on peut veiller tard mais je pense qu'Arte aurait pu donner une heure de diffusion beaucoup plus sympatique et beaucoup plus accessible. 

Ceci dit le documentaire est déjà disponible sur Arte en replay disponible jusqu’au 5 juin donc je vous encourage si vous pouvez le voir ce soir mais sinon regardez sur le site de la chaîne, il n’y a pas besoin d’outils particulier, un navigateur libre suffit jusqu’au 5 juin. De mémoire cela doit durer à peu près 1h. Dans l’introduction on peut lire « quand on prive les gens du savoir ils ne le supportent pas , ils ont envie de hacker le système et ce qu’il y a de bien avec l’informatique et les logiciels libres c’est qu’ils peuvent le faire ». Donc je vous encourage à regarder ce documentaire. Comme je vous dit il y a une version longue « la bataille du libre » qui dure 87 mn, il y a un certain nombre de diffusion qui sont faites en public en ce moment. Vous trouverez la plupart des références sur l’Agenda du libre, agendadulibre.org et normalement nous aurons Philippe Borrel dans le courant du mois de mai pour faire une petite interview avec lui pour nous parler de ce projet.

Dans les autres annonces j’ai envie de souhaiter un joyeux anniversaire à Next Impact le site d’actualité d’enquêtes en ligne qui fête ses 16 ans. Xavier Berne qui intervient, qui fait des chroniques régulières dans l’émission et qui d’ailleurs sera présent la semaine prochaine. Donc joyeux anniversaire aux équipes de Next Impact.

Y a des apéros April qui vont arriver en mai. Le prochain c’est le 16 mai à Montpellier, le 17 mai à Marseille, à Paris au local de l’April c’est le 31 mai. Donc évidemment vous êtes toutes et tous les bienvenu.e.s même si vous n’êtes pas membre de l’April. Pour participer à ces apéros – à Montpellier vous aurez peut-être l’occasion de rencontrer Antoine Bardelli vu qu’il habite cette jolie ville.

En mai nos camarades d’Ubuntu France organisent l’Ubuntu partie à Paris les 18 et 19 mai.Nous aurons un stand de l’April. Donc vous pourrez rencontrer les joyeux membres de l’April ainsi que l’équipe et pour tous les autres événements vous allez sur le site de l’Agenda du libre agendadulibre.org.

Nous avons mis en ligne une bande annonce avec différentes voix, ma voix, celle d’Isabella Vanni, celle de Étienne Gonnu, celle de Vincent Calame et celle de Noémi Berger qui travaille au cabine Dune avec Olivier Hugo. N’hésitez pas à la diffuser elle dure 1mn30, c’est la bande annonce de l’April et je voulais en parler car la semaine dernière on l’a diffusée et j’ai oublié de remercier P.G. qui est un membre,sur le salon webchat de la radio et qui a fait le montage de l’émission, de la bande annonce donc je le remercie vraiment.

Bande annonce