Libre à vous ! Radio Cause Commune - Transcription de l'émission du 17 mars 2020

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Titre : Émission Libre à vous ! diffusée mardi 17 mars 2020 sur radio Cause Commune

Intervenants : Sylvain Kuntzmann - Aurélien Couderc - Michel Memeteau - Vincent Calame - Frédéric Couchet - William ??? à la régie

Lieu : Radio Cause Commune

Date : 17 mars 2020

Durée : 1 h 30 min

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Page des références utiles concernant cette émission

Licence de la transcription : Verbatim

Illustration :

NB : transcription réalisée par nos soins, fidèle aux propos des intervenant·e·s mais rendant le discours fluide.
Les positions exprimées sont celles des personnes qui interviennent et ne rejoignent pas nécessairement celles de l'April, qui ne sera en aucun cas tenue responsable de leurs propos.

Transcrit MO

Transcription

Voix off : Libre à vous !, l’émission pour comprendre et agir avec l’April, l’association de promotion et de défense du logiciel libre.

Frédéric Couchet : Bonjour à toutes. Bonjour à tous.
L’achat de matériel, ordinateurs, téléphones, et le logiciel libre ce sera le sujet principal de l’émission du jour. Avec également au programme Musecore, un logiciel libre d’édition de partitions musicales et aussi un sujet bien dans l’ordre du jour, le télétravail.
Nous allons parler de tout cela dans l’émission du jour.

Vous êtes sur la radio Cause Commune, la voix des possibles, 93.1 en Île-de-France et partout dans le monde sur le site causecommune.fm. La radio diffuse désormais également en DAB+ [Digital Audio Broadcasting] 24 heures sur 24, c’est la radio numérique terrestre avec notamment un meilleur son. Pour capter le DAB+ c’est gratuit, sans abonnement, il faut juste avoir un récepteur compatible avec la réception DAB+.

Soyez les bienvenus pour cette nouvelle édition de Libre à vous !, l’émission pour comprendre et agir avec l’April, l’association de promotion et de défense du logiciel libre. Je suis Frédéric Couchet, le délégué général de l’April.
Le site web de l’April c’est april.org. Vous y trouverez une page consacrée à l’émission avec des références et également sur le site de la radio, causecommune.fm.

Nous sommes le mardi 17 mars 2020, nous diffusons en direct, mais vous écoutez peut-être une rediffusion ou un podcast.

Je précise tout de suite que l’émission est diffusée dans des conditions exceptionnelles suite au confinement de la population. Toutes les personnes qui participent à l’émission sont chez elles. Nous diffusons en direct depuis Saint-Denis, Paris, Breuillet en Charente-Maritime, Aubagne près de Marseille et Clamart. D’un point de vue technique, nous utilisons le module de discussion de Nextcloud, un logiciel libre d’hébergement, de partage de fichiers, d’agendas et de bien d’autres fonctionnalités dont nous avons déjà parlé dans l’émission, c’était l’émission 54 du 18 février 2020.
Nous espérons que tout se passera bien et je vous prie de nous excuser par avance si des problèmes techniques se produisent.

Si vous voulez réagir, poser une question pendant ce direct, participer à la discussion, n’hésitez pas à nous rejoindre sur le salon web de la radio. Pour cela vous allez sur le site causecommune.fm, vous cliquez sur « chat » et vous nous retrouvez sur le salon dédié à l’émission.
Nous vous souhaitons une excellente écoute.

Maintenant le programme détaillé de l’émission du jour :
nous allons commencer dans quelques secondes par vous parler de Musescore, un logiciel libre d’édition de partitions musicales avec Sylvain Kuntzmann, enseignant, compositeur, musicien et bénévole à l’April ;
d’ici une quinzaine de minutes nous aborderons notre sujet principal qui portera sur l’achat de matériel, ordinateurs de bureau, ordinateurs portables, téléphones mobiles, avec Aurélien Couderc bénévole à l’April et Michel Memeteau, directeur d'ekimia.fr ;
en fin d’émission nous évoquerons le télétravail avec Vincent Calame dans le cadre de sa chronique « Jouons collectif » .
À la réalisation de l’émission aujourd’hui William ???, que je salue. Bonjour William.

MuseScore, un logiciel libre d'édition de partitions musicales

Frédéric Couchet : Nous allons passer tout de suite au premier sujet. Nous avons le grand plaisir d’accueillir aujourd’hui Sylvain Kuntzmann qui est enseignant, compositeur, musicien, bénévole à l’April, qui va nous parler de MuseScore, un logiciel d‘édition de partitions musicales. Je précise tout de suite que Sylvain s’occupe de la post-production des podcasts de Libre à vous !, donc c‘est un grand plaisir que tu sois avec nous.
Bonjour Sylvain. Tu nous entends bien ?

Sylvain Kuntzmann : Oui. Bonjour. Bonjour Fred. Bonjour à tous. Je vous entends bien. Merci.

Frédéric Couchet : J’ai fait une courte présentation, mais est-ce que tu veux compléter ta présentation personnelle.

Sylvain Kuntzmann : Elle est assez complète. Je suis principalement professeur de musique dans un petit conservatoire, à Saint-Palais-sur-Mer, j’enseigne la formation musicale, ce qu’on appelle solfège, et la musique électroacoustique. Je compose aussi de la musique pour des orchestres, des musiciens, ou pour de l’image, des documentaires. J’anime une toute petite maison d’édition qui s’appelle Loctanphare où j’utilise essentiellement MuseScore et d’autres logiciels libres.

Frédéric Couchet : D’accord. Super. Première question que j’ai envie de te poser. MuseScore c’est la notation musicale pour tout le monde, mais pourquoi écrire des partitions ?

Sylvain Kuntzmann : On écrit des partitions parce que, pour faire de la musique, quand on veut acheter des partitions, souvent le prix d’une partition peut être élevé. Souvent on achète un bouquin entier alors qu’on n’a besoin que d’une partition parmi tout le recueil qui est vendu. C’est un petit peu de la vente forcée de recueil de partitions. Les derniers titres récents qu’on voudrait avoir, les derniers tubes à la mode on ne les trouve pas forcément en partition, il y a un grand délai avant d’avoir les titres qui soient disponibles en partition. On a du papier, mais on voudrait bien l’avoir aussi en PDF ou l’échanger de manière numérique.

[Coupure]

Frédéric Couchet : Excusez-nous. On a eu un problème technique de diffusion entre la régie ponctuelle qui se trouve à Clamart et le diffuseur.
Sylvain Kuntzmann était en train de parler sur les raisons pour lesquelles écrire des partitions. À priori, le dernier mot qu’on a entendu, Sylvain, c’était quand tu parlais de numérique, c’est ce qu’on remonte sur le salon web, si tu te souviens où tu en étais et éventuellement poursuivre.

[Coupure]

Frédéric Couchet : On est de retour. Reprise. Ce n’est que le début. On tente une dernière fois Sylvain. On va reprendre tu expliquais, Sylvain, la raison d’écrire des partitions.

Sylvain Kuntzmann : C’est ça on a besoin d’écrire des partitions avec le logiciel parce que souvent l’offre est limitée, on a un catalogue limité, ou alors on doit acheter un livre entier, c’est une vente forcée pour un seul titre qui serait dans le recueil. Les titres récents on ne les a pas forcément. On a une version papier, mais on voudrait avoir une version PDF pour l’échanger sur Internet et les partitions existent souvent pour les instruments les plus populaires, mais, pour son instrument, parfois la partition n’est pas disponible, donc on a besoin de la réécrire avec un logiciel.
Voilà les principales raisons pour lesquelles on écrit ou on réécrit la musique avec un logiciel.

Frédéric Couchet : D’accord. Super. D’où vient MuseScore ? Sa petite histoire ?

Sylvain Kuntzmann : Pour faire bref, MuseScore remonte au début des années 2000, en 2002. Werner Schweer qui est un informaticien allemand mais qui a une passion, il fait du piano, décide de créer un petit programme pour noter les morceaux de piano qu’il compose et ce programme il l’appelle Muse, m, u, s, e, et ce petit programme va ensuite se transformer en MuseScore, un éditeur de partition plus élaboré. Il y a deux autres personnes qui vont le rejoindre jusqu’en 2008, Nicolas Froment, un Français, et Thomas Bonte, un Belge, et ces trois-là vont créer le site internet musescore.org en 2008, développer toujours ce logiciel MuseScore et essayer de le porter vers le grand public.
En 2011 ils créent leur société, MuseScore BVBA, où les trois travaillent sur le logiciel et MuseScore continue de se développer avec une grande communauté qui se développe autour en tant que développeurs, traducteurs ou contributeurs de toute sorte. Ça devient tellement difficile à gérer à trois personnes qui cette petite société créée en 2011 est revendue à Ultimate Guitar, une grosse société basée en Russie, en 2018, pour continuer à faire avancer le logiciel.
Voilà en gros l’histoire de MuseScore qui est à peu près le logiciel d’édition musicale le plus utilisé aujourd’hui dans le monde puisqu’on a des milliers de téléchargements par jour, c’est traduit en 66 langues, il y a plus de 1000 traducteurs, presque à peu près 200 développeurs et une bonne quarantaine qui sont très actifs. Ça en fait un logiciel qui est vraiment très actif et qui évolue rapidement.

Frédéric Couchet : D’accord. C’est un peu comme VLC qui est, dans son domaine, le logiciel le plus téléchargé et c’est un logiciel libre. Finalement, dans la notation musicale, le logiciel le plus utilisé est aussi un logiciel libre et c’est MuseScore.

Sylvain Kuntzmann : Oui, c’est ça, tout à fait.

Frédéric Couchet : D’accord. Pour les personnes qui ne connaissent pas trop l’écriture de la notation musicale, des partitions, etc., quelles sont les principales fonctionnalités de MuseScore ?

Sylvain Kuntzmann : C’est très simple, MuseScore permet de tout faire, mais pour être précis, quand on voit une partition de musique, on voit des portées avec des notes, des rythmes, etc., eh bien MuseScore permet d’écrire ça, c’est-à-dire qu’on a une partition vierge sous les yeux, des portées comme ça sans rien et on vient poser nos notes et nos rythmes en utilisant différentes notations pour le piano, pour la guitare, la clarinette. Donc on a une partition classique entre guillemets qui s’écrit avec le logiciel.
On peut aussi faire des tablatures, donc pour tous ceux qui jouent des instruments à corde, guitare notamment, la tablature c’est la façon d’écrire la musique en ayant sur les portées non pas des notes de « musique classique » entre guillemets, mais les chiffres qui correspondent aux cases que l’on pose sur les doigts. Donc on peut écrire aussi en tablature. D’ailleurs les deux sont liés : je peux écrire de manière classique et ça me le transforme en tablature ou l’inverse, je peux écrire en tablature et ça me le transforme en manière classique automatiquement.
Donc on peut écrire des partitions pour un seul instrument, pour un orchestre entier. C’est tout à fait complet, opérationnel. Tout ce qu’on voit comme partition sur Internet ou dans le commerce on peut le faire avec MuseScore.

Frédéric Couchet : D’accord. Donc c’est de la composition, de la création. Tu as dit tout à l’heure que tu as enseignes, donc je suppose que tu l’utilises beaucoup dans le cadre de l’enseignement et de l’apprentissage.

Sylvain Kuntzmann : C’est ça. Au départ j’utilisais d’autres logiciels propriétaires pour faire mes partitions, mais quand j’étais en classe la solution la plus facile c’était d’avoir [coupure] pas de budget pour acheter de licence et surtout, ce qui m’intéressait c’était que mes élèves aient le même outil que moi, qu’ils puissent installer à la maison le même logiciel. Je me rappelle quand j’étais en fac on avait été formés sur un logiciel qui s’appelle Finale, qui coûtait très cher, on adorait aller faire nos cours, mais quand on rentrait à la maison, on n’avait pas le logiciel, il y avait une grosse frustration. Le fait d’avoir un logiciel libre, ça nous permet de faire tomber cette barrière, et mon élève, chez lui, a le même outil, donc c’est vraiment génial. C’est aussi pour ça que j’ai basculé sur MuseScore « à temps plein » entre guillemets dans mon utilisation parce que ça fait tomber ces barrières-là. Pour la pédagogie c’est vraiment super, d’autant plus dans ces temps de confinement où chacun va travailler un peu chez soi. MuseScore, en ce moment, est très utilisé par beaucoup de professeurs et d’élèves.

Frédéric Couchet : D’accord. Si on veut l’installer, c’est disponible sur toutes les plateformes, il y a également une application mobile ? Comment on fait ?

Sylvain Kuntzmann : Si on veut l’installer, on va sur le site officiel qui est musescore.org. Il faut savoir que c’est multiplate-forme donc ça marche sur Linux, BSD, Windows et MacOS aussi. Pour Linux on a une AppImage qui est disponible mais aussi des paquets pour les principales distributions, Ubuntu, Gentu, Mint, Debian, Fedora, etc.

Frédéric Couchet : On va préciser qu’une AppImage est une sorte de fichier binaire qui s’exécute tout seul.

Sylvain Kuntzmann : Oui, voilà, c’est ça, un prêt à l’emploi on va dire qu’on peut installer.
Pour utiliser MuseScore, on utilise l’ordinateur. On ne peut pas encore écrire et je pense pas fait un jour, on n’écrit pas à partir d’une tablette ou d’un smartphone. Il y a des applications qui existent qui s’appellent MuseScore sur tablette ou smartphone, mais c’est juste pour lire les partitions, ou les entendre, les écouter, les faire défiler. Mais pour fabriquer la partition, on reste avec l’ordinateur.

Frédéric Couchet : D’accord. Donc c’est disponible sur toutes les plateformes, les distributions libres GNU/Linux, les autres systèmes et applications mobiles.
Si on veut se former est-ce que, en dehors de l’utilisation dans les conservatoires – par exemple mon fils qui fait de la musique au conservatoire l’utilise – est-ce qu’il y a des formations un peu plus générales, en dehors des conservatoires ou des formations en ligne ?

Sylvain Kuntzmann : Ça reste assez marginal. On peut déjà se former tout seul, en autonomie, parce qu’il y a une grande communauté qui est très active et il y a beaucoup de ressources, notamment toujours sur le site officiel où on a un forum qui est très réactif, des tutoriels, le manuel en ligne. On trouve aussi d’autres ressources sur des plateformes de vidéo, etc. Si on veut aller plus loin, on a aussi des cours en ligne, on va dire officiels, qui sont faits par AF MEDIA. AF MEDIA c’est un ??? qui est en Bretagne et qui a mis en ligne une plateforme de cours en ligne, en fait, de A à Z. Pour un abonnement qui est de 25 euros à vie, on peut accéder à tous les cours avec de la vidéo et de l’accompagnement, etc.
Maintenant sur les formations en présentiel, c’est assez rare, on peut en faire soit dans des rassemblements comme le Capitole du Libre ou Pas Sage en Seine où on a parfois des conférences ou des ateliers, mais c’est assez ponctuel. Sinon on a des associations ou des écoles de musique qui proposent des fois de former leurs adhérents, donc là on peut être sollicités pour faire une formation. Parfois c’est ouvert au grand public. Sinon, les professeurs de musique, dans leur formation continue, ont maintenant accès à des stages de formation à MuseScore, mais finalement, les formations, j’allais dire en présentiel, sont encore assez rares sur le territoire.

Frédéric Couchet : OK ! D’accord. En introduction j’ai dit que tu t’occupais que la post-production des podcasts de Libre à vous !. Déjà merci pour ce travail intense et important.

Sylvain Kuntzmann : C’est avec plaisir.

Frédéric Couchet : On a lancé un appel pour te décharger et que d’autres personnes puissent éventuellement t’aider parce que tu fais ça toutes les semaines. Est-ce qu’en quelques mots tu peux expliquer ce que représente le travail de post-production d’un podcast ?

Sylvain Kuntzmann : C’est finalement une autre manière d’écouter l’émission. On récupère l’enregistrement de l’émission. On récupère l’habillage de l’émission et les musiques qui sont diffusées. On va ensuite commencer par faire un nettoyage, donc on réécoute l’émission en faisant un nettoyage de tous les petits ratés de prononciation, les petits bruits de bouche, les choses comme ça, on essaye de nettoyer pour que ce soit le plus agréable possible à écouter ensuite. On replace les musiques et les jingles pour vérifier que tout est bien au même niveau. Tout ça sur une émission d’une heure et demie, il faut compter, deux heures, deux heures et demie d’écoute pour faire ça. Maintenant je n’écoute plus l’émission, je l’écoute quand je fais le montage comme ça je gagne un petit peu de temps. Voilà en gros ce que ça représente. On se met dans un logiciel multipiste quelconque, Ardour ou autre, et on édite de l’audio comme ça.

Frédéric Couchet : D’accord. Pour l’émission du jour ça va être un peu particulier pour toi, parce que tu vas te post-produire, en plus avec un démarrage délicat. En tout cas, si des personnes ont des compétences et du temps pour aider Sylvain à la post-production des podcasts de Libre à vous ! n’hésitez pas à nous contacter.
Est-ce que tu souhaites ajouter quelque chose sur MuseScore ou sur autre chose, Sylvain ?

Sylvain Kuntzmann : Non, rien de spécial. Les références vont être ajoutées sur la page, donc les personnes pourront se référer aux différents liens qui seront insérés. N’hésitez pas à essayer ce logiciel et à aller poser des questions parce qu’il y a beaucoup de personnes qui sont d’une grande aide sur la communauté, sur les forums.

Frédéric Couchet : Les deux ressources principales en ligne, c’est musescore.org pour les ressources et pour les partitions en ligne il y a musescore.com.

Sylvain Kuntzmann : Oui, c’est vrai. Si on recherche une partition, même si on n’utilise pas MuseScore, le logiciel, MuseScore a une plateforme de partage de partitions, effectivement, où on a actuellement plus de 700 000 partitions. Toutes ne sont pas forcément des grandes partitions, des standards ou les derniers tubes à la mode, mais on a quand même un grand choix de partitions qu’on peut télécharger librement et échanger librement. Donc il ne faut pas hésiter à aller piocher là-dedans et à aller voir ce qui s’y passe.

Frédéric Couchet : OK. Merci Sylvain. Je te remercie et bon courage pour le traitement du podcast du jour.
C’était Sylvain Kuntzmann, enseignant, compositeur, musicien, bénévole à l’April qui nous a parlé de MuseScore, la notation musicale pour tout le monde. Nous allons faire une pause musicale. Nous allons écouter Les Rosalies par Ehma. On se retrouve juste après. Belle journée à l’écoute de Cause Commune, la voix des possibles.

Pause musicale : Les Rosalies par Ehma.

Voix off : Cause Commune, cause-commune.fm 93.1.

Frédéric Couchet : Nous venons d’écouter Les Rosalies par Ehma, disponible sous licence Art Libre. Vous retrouverez les références sur le site de l’April, april.org, et sur le site de la radio, causecommune.fm.

Vous écouter l’émission Libre à vous ! sur radio Cause Commune, la voix des possibles, 93.1 en Île-de-France et partout dans le monde sur le site causecommune.fm. Je suis Frédéric Couchet, le délégué général de l’April.
On va passer au sujet suivant.

[Virgule musicale]

Achat de matériel et logiciels libres : ordinateurs de bureau, ordinateurs portables, téléphones mobiles.

Frédéric Couchet : Nous allons poursuivre par notre sujet principal