Différences entre les versions de « Accessibilité numérique - Paris Open Source Summit 2016 »

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'''Titre :''' Accessibilité numérique - Table ronde
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Publié [https://www.april.org/accessibilite-numerique-poss2016 ici] - Mai 2017
 
 
'''Intervenants :''' Armony Altinier - Christian Paterson - Claire Grisard -
 
 
 
'''Lieu :''' Paris Open Source Summit 2016
 
 
 
'''Date :''' Novembre 2016
 
 
 
'''Durée totale :'''
 
 
 
'''[http://media.april.org/audio/POSSPARIS16/ Écouter les enregistrements]'''
 
 
 
'''Licence :''' [http://www.gnu.org/licenses/licenses.html#VerbatimCopying Verbatim]
 
 
 
 
 
==Armony Altinier - Introduction et Christian Paterson - OSAi==
 
 
 
'''[http://media.april.org/audio/POSSPARIS16/1a-Armony_ALTINIER-intro-1b-Christian_PATERSON-OSAi.ogg Écouter l'enregistrement]'''
 
 
 
'''[http://www.slideshare.net/OW2/accessibilit-logiciel-libre-et-opensource Diaporama]'''
 
 
 
'''Statut :''' Transcrit MO
 
 
 
==00'==
 
 
 
<b>Armony Altinier :</b> Bienvenue au Paris Open Source Summit. On va parler accessibilité, logiciel libre et <em>open source</em>. Je me présente Armony Altinier, je représente le syndicat des TPE-PME du numérique, Cinov-IT, entre autres choses. Juste une toute petite intro après on va enchaîner. Je vais vous expliquer comment ça se passe.
 
 
 
Déjà, l’accessibilité au Paris Open Source Summit, c’est une première. Il faut savoir que l’année dernière des sujets ont été proposés et ils ne les ont pas retenus parce qu’ils se sont dit qu’il n’y avait pas assez de monde que ça n’intéressait pas assez les gens. C’est aussi pour ça qu’on a essayé de faire un peu de buzz. Il faut que ce soit un succès, qu’on en parle pour que ce soit maintenu. Avant Paris Open Source Summit – ce n’est que la deuxième édition – il y avait déjà l’Open World Forum et le salon Solutions Linux. À l’Open World Forum, ils avaient déjà fait aussi une première tentative ; ils avaient trouvé que ce n’était pas assez concluant donc ils n’avaient pas renouvelé. Donc merci d’être là, n’hésitez pas à twitter, re-twitter. Effectivement le mot-dièse, le hashtag, c’est #OSSPARIS16, en disant que c’est super. Là on va avoir une transcription grâce à Muriel Larrouy qui met son téléphone pour enregistrer et grâce aux super transcripteurs de l’April. On va avoir une présentation du groupe Transcriptions. Marie-Odile, toujours championne.
 
 
 
<b>Magali Garnero</b> : Qui avait envoyé un message en nous demandant « est-ce que c’est enregistré ? », pour pouvoir transcrire le truc. Ce n’est pas commencé que…
 
 
 
<b>Armony Altinier :</b> Oui, ils sont à fond. Donc il faut bien parler je compte vraiment sur vous tous et sur tous les intervenants à qui je mets la pression gentiment. Il faut que ce soit super ! Attention ! Mais pas de pression.
 
 
 
On s’inscrit vraiment, on a vraiment essayé de jouer le jeu du Paris Open Source Summit qui, cette année, a décidé de dire « on est un point fixe dans l’année, mais ce n’est pas une fin en soi ». Pour les groupes qui existaient déjà, c’était l’occasion de présenter notre travail. Nous, comme c’est une première, c’est l’occasion de lancer un mouvement, on va faire les choses un peu dans l’autre sens. Il y a déjà plein de choses qui existent de manière éparpillée, mais de se dire pourquoi pas se donner rendez-vous une fois par en pour lancer un mouvement et essayer de faire des ponts avec d’autres sessions. Donc il y a un chapitre dans le <em>track</em> souveraineté qui a été fait sur l’accessibilité numérique. Donc c’est un des ponts qui a été fixé avec Christian et Lina. Sur l’ODF Plugfest pareil, lancer des choses sur l’accessibilité, qui a lieu en ce moment, on essaye de travailler ensemble. J’ai appris par Antoine Cao de la DISIC [Direction interministérielle des systèmes d’information et de communication, NdT], qu’il y avait aussi des choses qui été faites sur le Hackathon Open Democracy Now!, pour tester l’accessibilité. L’objectif c’est un sujet transversal, l’objectif c’est vraiment d’essaimer et pas de rester qu’entre nous, mais de faire un point de temps en temps, et c’est ce qu’on va essayer de faire.
 
 
 
On a aussi produit des bonnes pratiques pour les orateurs et oratrices de tous les Paris Open Source Summit, qu’on a envoyées pour qu’ils essayent de rendre leurs présentations accessibles. Notamment nos petits rappels de décrire ce qui est à l’écran pour ceux qui ne les voient pas. Et c’est utile aussi pour la transcription puisqu’on a juste de l’audio pour les gens qui puissent, après, lire le texte de ce qui passe. Et il y a un code de conduite qui a été écrit et qui sera mis en place l’année prochaine.
 
 
 
La session va se passer en deux temps et il y a un événement associé. Donc il y a la session aujourd’hui et puis il y a la suite, comme je l’ai dit c’est le début d’un mouvement, qui aura lieu demain. Aujourd’hui on a deux heures, un peu moins. Enfin, on a à peu près deux heures. Huit présentations éclair de 10 minutes et 30 minutes ou ce qu’il en reste, ce qui restera comme temps, de débat c’est pour ça qu’on a mis les chaises un peu comme ça devant en rang d’oignons, l’idée c’est vraiment d’interagir avec la salle. Ce qui veut dire aussi que si vous avez des questions, gardez-les précieusement pour après, pour pouvoir interagir et puis ce n’est que le début toujours des discussions Et on a un <em>AccessCamp</em> demain. Donc un <em>AccessCamp</em> c’est un <em>BarCamp</em> sur l’accessibilité numérique, qui aura lieu chez un partenaire qui est la FPH [Fondation pour le progrès de l’Homme, NdT], métro Bréguet - Sabin de 9 heures à midi. Et, encore une fois, là il n’y a pas d’intervenants à proprement parler. L’idée c’est de faire des choses ensemble, de manière concrète et de manière collaborative en fonction des envies, des besoins, des compétences de chacun qui seront présents. Donc on a déjà des gens inscrits. Vous pouvez encore nous rejoindre et vous inscrire, il reste de la place donc l.ow2.org/ac16, pour vous inscrire et avoir toutes les infos. Je laisse tout de suite la parole à Christian Paterson, d’Orange, qui va nous parler de l’Open Source Accessibility Initiative.
 
 
 
==04’ 28==
 
 
 
<b>Christian Paterson :</b> Bonjour à tout le monde.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
==Claire Grisard - Handicap intellectuel 12‘ 43==
 
 
 
'''[http://media.april.org/audio/POSSPARIS16/2-Claire_GRISARD-handicap_intellectuel.ogg Écouter l'enregistrement]'''
 
 
 
'''Statut :''' Transcrit MO
 
 
 
<b>Armony Altinier :</b> Merci beaucoup. Il a pratiquement tenu le timing. Si tout le monde fait ça, ça va être parfait. C’est très bien. Maintenant on accueille Claire Grisard de l’Unapei, qui va nous présenter ce que c’est aussi, qui va nous parler d’un sujet qui est rarement abordé, en fait, quand on parle d’accessibilité numérique, c’est la prise en compte du handicap intellectuel et n va voir que c’est une erreur, parce qu’il y a beaucoup de choses à faire. Donc Claire je te cède toutes les commandes
 
 
 
<b>Claire Grisard :</b> Donc le timing, il faut tenir le temps. Je suis contente d’être là. Je ne suis pas forcément une spécialiste du numérique, je suis vraiment là pour représenter les besoins des personnes handicapées intellectuelles et sur la question de l’accessibilité et sur l’évolution numérique on a pas mal de choses à dire. Je ne vais pas lire toute la diapo. L’Unapei [Union nationale des associations de parents, de personnes handicapées mentales et de leurs amis, NdT], pour ceux qui ne connaissant pas, c’est une fédération d’associations dont la plupart sont gestionnaires d’établissements médico-sociaux où sont accueillies, pour la plupart, des personnes handicapées intellectuelles. Moi je m’occupe des questions d’accessibilité et pour nous les questions d’accessibilité numérique deviennent de plus en plus un sujet important. Il y a des gros enjeux en ce moment pour nous avec ce qu’on appelle un peu schématiquement le passage au tout numérique.
 
 
 
Accessibilité et handicap mental. Je vous ai mis le point de vue des assos parce que, vu de notre balcon, en tant que nous spécialistes, on a l’impression que quand on parle d’accessibilité numérique on ne parle quasiment jamais de l’accès pour les personnes déficientes intellectuelles.
 
 
 
Qu’est-ce que l’accessibilité numérique pour les personnes handicapées intellectuelles ? On a le sentiment nous, aujourd’hui, qu’il n’existe pas grand-chose et on peut se poser la question. On a effectivement un certain nombre de règles que tout le monde connaît, les ???, le RG2A [Référentiel général d’accessibilité pour les administrations, NdT], mais si on recherche précisément qu’est-ce qu’il y a qui correspond aux besoins des personnes handicapées intellectuelles dans ces règles, eh bien on se rend compte qu’il n’y a pas grand-chose. Et pourtant, on peut se poser la question. C’est vrai que c’est un handicap qui est, peut-être, méconnu ou mal connu. Monsieur parlait des troubles cognitifs en disant que voilà, il y a un vieillissement de la population, etc. C’est mal connu. C’est aussi un handicap, peut-être, où les personnes sont peut-être moins militantes parce qu’elles ont du mal à s’auto représenter, par définition. Et du coup, on a un petit peu ce sentiment d’être un peu pas les laissés pour compte de l’accessibilité, mais un petit peu quand même, rt on pense qu’il a quand même beaucoup de pédagogie à faire au niveau des besoins par rapport à ça. Par contre, comment faire ? La vraie question c’est comment faire et est-ce que c’est une raison pour ne rien faire ?
 
 
 
Nos difficultés, à nous, elles vont être pour schématiser très rapidement, de deux ordres. Ça va être une question de compréhension, déficience intellectuelle, je schématise là encore, c’est accès au sens, comprendre les contenus. Et puis une question, aussi, en termes d’usages. Les usages numériques nécessitent beaucoup d’apprentissages.
 
 
 
Donc est-ce que parce que c’est mal connu ? Est-ce que parce qu’on n’a pas vraiment d’appuis, de règles normatives très précises qui pourraient indiquer très précisément aux développeurs comment faire pour s’adresser à ce public ? Est-ce que c’est une raison pour ne rien faire ? C’est une question un peu de provocation. Je représente une association donc je mets un peu les pieds dans le plat. Évidemment, non ! Les personnes handicapées intellectuelles sont des citoyens comme les autres. Elles participent à la vie, de plus en plus, et nous on travaille beaucoup depuis plusieurs années sur les questions d’accès aux droits, d’auto détermination, pour que les personnes puissent, le plus possible, interagir avec leur environnement.
 
 
 
C’est une réflexion qu’on a menée, nous, depuis plusieurs années. Juste pour faire un petit point de comparaison par rapport à l’accessibilité aux cadres bâtis. Pendant des années, quand on parlait accessibilité, on pensait, je schématise encore, béton, bitume. C’est-à-dire accès aux cadres bâtis, les rampes d’ascenseurs, les largeurs de portes, etc. Petit à petit on s’est intéressé aux autres handicaps, les handicaps sensoriels, mais pour le handicap mental qu’est-ce qu’on fait ? Concrètement qu’est-ce qu’on fait ? Et donc nous, on a eu tout un travail, un petit peu, de pédagogie là encore pour dire, finalement, les personnes handicapées intellectuelles, elles ont besoin de pouvoir comprendre leur environnement, pouvoir s’y repérer, et que c’est ça qui leur permet une vie active. Finalement on va transposer cette réflexion dans le domaine numérique pour qu’elles puissent comprendre les enjeux, pour s’y repérer et surtout accéder au sens. Donc nous on a une vraie problématique d’accès au sens, à la compréhension de ce qu’on nous propose. Et, effectivement, quand on va parler technique, quand on va parler code, on va se poser les questions sur comment faire.
 
 
 
Du coup c’est vrai que, par rapport à tout ce qu’on a travaillé en accessibilité, on se demandait si le numérique en général c’était le dernier bastion où, finalement, personne n’avait entendu parler du handicap mental. C’était un peu la question qu’on se posait.
 
 
 
[Cinq minutes, c’est bon, je vais tenir, je parle très vite excusez-moi !]
 
 
 
On y voit à la fois des évolutions inévitables et, en même temps, des opportunités incroyables aussi, pour les personnes en termes d’autonomie, pour qu’elles puissent se débrouiller par elles-mêmes, ce qui est quand même le but, au maximum. Et puis des opportunités, aussi, en termes d’accompagnement pédagogique. Simplement, eh bien on voudrait bien que le train ne parte sans ces personnes-là et qu’il y ait des choses qui leur soient proposées, qu’il y ait une réflexion, au moins qu’on y pense, dans tout ce qu’on va produire et c’est l’objet de ma présence ici.
 
 
 
Quelles solutions ? Je vais aller très rapidement parce que, finalement, j’ai dit en intro qu’on n’avait pas vraiment, comment dire, d’appuis normatifs forts. Qu’est-ce qu’on peut faire, concrètement, pour rendre des contenus accessibles, des contenus numériques accessibles aux personnes handicapées intellectuelles ? Ça c’est la vraie question.
 
 
 
On n’a pas de solutions opérationnelles vraiment très cadrées sur lesquelles on pourrait s’appuyer très fortement. Par contre, nous, dans notre secteur associatif, dans notre milieu médico-social, on a développé des choses qui pourraient utilement être transposées et servir un peu de base pour améliorer les développements pour les personnes handicapées intellectuelles.
 
 
 
L’accès au sens, parce que c’est vraiment la problématique – je ne vais pas parler des usages ici parce que je ne vais pas avoir le temps – mais l’accès au sens est un vrai sujet. Finalement qu’est-ce qu’on a besoin pour comprendre ? C’est d’avoir de choses qui soient faciles à lire et à comprendre. Du coup, on a développé depuis plus de dix ans une méthode de simplification de l’écrit qui s’appelle « Le facile à lire et à comprendre ». Voilà, comme son nom l’indique, on a essayé de faire simple.
 
 
 
Donc là je présente très rapidement, en fait, une méthode qui comprend un certain nombre de règles, je passe les diapos très vite, mais qu’on a développée depuis un bon moment et qui permet, aux personnes, d’un petit mieux comprendre ce qu’on leur propose en termes d’écrit.
 
 
 
Les règles principales sont des règles de fond et de forme. C’est-à-dire que nous, l’accès au sens c’est ce qu’on considère comme étant le fond et puis, comme pour d’autres types de handicaps, on va avoir des questions de forme, de lisibilité, de taille de police, etc., qui sont importantes. Donc dans le fond, ça va être vraiment des règles d’organisation du document, de structuration, de logique. Finalement plein de règles de bon sens. Et dans la forme, ça va être vraiment des questions de police, de mise en page, etc. Donc je crois que la présentation sera reprise, je passe très vite les diapos sur ces règles, parce que ce n’est pas l’intérêt, et qu’il ne me reste que deux minutes.
 
 
 
On a un point très important sur les illustrations qui sont aussi un appui fondamental pour accéder à la compréhension et qui sont, pour les personnes déficientes intellectuelles, je le glisse au passage, un appui fondamental pour retenir l’information, pour fixer la mémorisation. Ce n’est pas juste une communication alternative, c’est vraiment pour fixer la mémorisation.
 
 
 
Donc voilà ! Ça ce son des choses qu’on a développées à l’origine pour tout ce qui va être support imprimé, écrit, parce que nous, on est un peu à l’ancienne. On se rend bien compte que maintenant tout passe par l’ordinateur, par les usages numériques et donc on travaille, de plus en plus, à essayer de transposer ça dans le secteur et donc « Le facile à lire et à comprendre » c’est une méthode qui peut utilement se transposer dans le secteur numérique.
 
 
 
Je passe. Il y a des règles que vous retrouverez sur le site internet. Je ne m’attarde pas. Je voulais juste vous présenter : ça c’est un exemple sur de l’imprimé. Donc là, ça ne va vous parler, c’est dans notre secteur, mais en gros c’est juste pour vous présenter visuellement à quoi au final, un travail en « facile à lire et à comprendre » peut revenir. Donc on a vraiment un travail sur la visibilité, sur la couleur et sur des termes simples. Je ne décris pas plus la diapo.
 
 
 
Et je voulais juste terminer ma présentation sur un travail qu’on a en cours, qui nous semble très important c’est : finalement, quand on a fait tout ce travail, est-ce qu’on peut s’assurer que le document qu’on a présenté ou le texte qu’on a travaillé est compréhensible ? Il existait à l’origine européen, qui est à l’origine des règles du « Facile à lire à comprendre », une check-list, une liste de vérifications, qui représentait un ensemble de critères, parce qu’on a bien besoin de critères, quand même, pour objectiver tout ça. Cette check-list, alors là, c’était un cauchemar informatique, elle n’était pas accessible, le site était toujours en ??? et du coup, on se retrouvait sans outil pour permettre de vérifier, au moins, si on avait respecté un certain nombre de ces critères.
 
 
 
Donc on a commencé un travail avec Armony ici présente, pour essayer de rependre cette check-list, déjà de l’améliorer, de la rendre accessible, parce que c’était une liste qui n’était accessible que sur un site internet qui ne marchait pas et qui n’était pas accessible d’un point de vue numérique, donc c’était un peu terrible. Donc on retravaille ces critères pour qu’ils soient plus efficaces et on a commencé un travail aussi pour essayer de voir qu’est-ce qui dans les règles du « Facile à lire et à comprendre », correspondait aux règles très généralistes des ??? et du RG2A pour la France. Et ça c’est vraiment, à ma connaissance, la première fois que ce travail existe. Donc il n’est pas disponible parce que l’on ne l’a pas fini.
 
 
 
<b>Armony Altinier :</b> C’est de ma faute !
 
 
 
<b>Claire Grisard :</b> Ce n’est pas du tout ce que je voulais dire !
 
 
 
<b>Armony Altinier :</b> Mais je le dis !
 
 
 
<b>Claire Grisard :</b> C’est en cours et l’idée c’est parce que finalement dans les critères des ??? notamment, tout ce qui est accès au sens, il y a des critères très généralistes qui disent qu’il faut que ce soit lisible, compréhensible, mais c’est très généraliste. Là, avec les règles du « Facile à lire et à comprendre », en regard, ça va se présenter sur un tableau, en regard on va pouvoir voir concrètement quels sont les critères qui peuvent aider un rédacteur ou un contributeur à se rendre plus compréhensible.
 
 
 
Et dernier mot, avant qu’il ne ressorte son papier, on voulait, une volonté forte, que ce soit sous Creative Commons BY-SA pour que ça ne reste pas figé, parce qu’on est vraiment dans une ébullition et dans une amélioration constante et donc l’idée c’était que chacun ici présent et autre et à venir puisse l’améliorer à sa guise.
 
 
 
<em>Applaudissements</em>
 

Dernière version du 31 mai 2017 à 14:22


Publié ici - Mai 2017