Émission Libre à vous ! du 19 octobre 2021 sur radio Cause Commune

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Titre : Émission Libre à vous ! diffusée mardi 19 octobre 2021 sur radio Cause Commune

Intervenant·e·s : Martin Noblecourt - Frédéric Couchet - Jean-Christophe Becquet - Isabella Vanni - Étienne Gonnu à la régieà la régie

Lieu : Radio Cause Commune

Date : 19 octobre 2021

Durée : 1 h 30 min

Podcast PROVISOIRE de l'émission

Page des références utiles concernant l'émission

Licence de la transcription : Verbatim

Illustration : Déjà prévue

NB : transcription réalisée par nos soins, fidèle aux propos des intervenant·e·s mais rendant le discours fluide.
Les positions exprimées sont celles des personnes qui interviennent et ne rejoignent pas nécessairement celles de l'April, qui ne sera en aucun cas tenue responsable de leurs propos.

Transcription

Voix off : Libre à vous !, l’émission pour comprendre et agir avec l’April, l’association de promotion et de défense du logiciel libre.

Isabella Vanni : Bonjour à toutes. Bonjour à tous.
Le système d’information géographique libre QGIS c’est le sujet principal de l’émission du jour. Avec également au programme la chronique « Le libre fait sa comm’ » sur l’association CartONG spécialisée en gestion de l’information et aussi la chronique « À cœur vaillant, la voie est libre », de Laurent et Lorette Costy, sur le thème du magasin d'applications F-Droid.
Nous allons parler de tout cela dans l’émission du jour.

Soyez les bienvenus pour cette nouvelle édition de Libre à vous !, l’émission qui vous raconte les libertés informatiques, proposée par l’April, l’association de promotion et de défense du logiciel libre.
Je suis Isabella Vanni, coordinatrice vis associative et responsable projets à l’April.

Le site web de l’April est april.org, vous pouvez y trouver une page consacrée à cette émission avec tous les liens et références utiles et également les moyens de nous contacter. N’hésitez pas à nous faire des retours ou à nous poser toute question.

Nous sommes le mardi 19 octobre 2021, nous diffusons en direct, mais vous écoutez peut-être une rediffusion ou un podcast.

À la réalisation de l’émission aujourd’hui mon collègue Étienne Gonnu. Bonjour Étienne.

Étienne Gonnu : Salut Isa.

Isabella Vanni : Nous vous souhaitons une excellente écoute.

[Jingle]

Chronique « Le Libre fait sa comm' » d'Isabella Vanni, coordinatrice vie associative et responsable projets à l'April, sur CartONG

Isabella Vanni : Nous allons commencer par la chronique « Le Libre fait sa comm' » qui aujourd’hui porte sur CartONG, une organisation non gouvernementale spécialisée en gestion de l’information, qui diffuse une grande partie de ses ressources sous licence libre Creative Commons Attribution, CC By. Nous avons avec nous aujourd’hui Martin Noblecourt, responsable des projets en cartographie participative et open data chez CartONG. Martin intervient via l’outil libre d’audioconférence Mumble. Bonjour Martin.

Martin Noblecourt : Bonjour.

Isabella Vanni : Merci d’être avec nous aujourd’hui pour parler de CartONG.
Pour commencer je te propose de nous présenter CartONG : qu’est-ce c’est ? Quels sont ses objectifs ? En quoi ça consiste ?

Martin Noblecourt : Déjà merci pour l’invitation. Je vais présenter rapidement CartONG.
CartONG est une association qui est basée en France, à Chambéry, qui a été fondée en 2006, et qui a pour objectif d’utiliser les outils de la gestion de l’information notamment géographique, donc la cartographie mais pas que, au service de projets de solidarité. Au départ c’était beaucoup des projets de solidarité internationale, essentiellement humanitaires. On a travaillé et on travaille toujours beaucoup avec des grandes ONG comme Médecins Sans Frontières ou plusieurs agences des Nations Unies et, petit à petit, ça c’est ouvert à des projets de plus long terme, voire à des projets qu’on pourrait qualifier de sociaux en France. Maintenant, on essaie de couvrir, on va dire, tout le champ de la solidarité et d’appuyer différentes organisations associatives ou publiques avec nos outils qui vont de l’édition de cartes à la collecte de données sur le terrain, en passant par l’organisation d’ateliers de cartographie participative, etc.
CartONG étant une association a à la fois une équipe permanente, qui travaille plutôt, on va dire, pour les grandes organisations qui contribuent à notre financement, mais aussi une équipe de bénévoles, ce qui nous permet de venir en aide à des petites structures qui n’ont pas forcément de budget pour ça.

Isabella Vanni : Merci pour cette présentation. La première question que j’ai à l’esprit c'est comment est-ce que faisaient les ONG avant 2006, avec que CartONG existe ?

Martin Noblecourt : De toute façon, quand on travaille sur des outils de type SIG [Système d'Information Géographique] et cartographie, les gens se débrouillaient toujours avant et ils se débrouillent avec d’autres moyens même actuellement. C’est très rare qu’on fournisse une carte à une organisation sur le terrain qui ne puisse pas se déplacer sans, puisque les gens qui travaillent avec les ONG sont essentiellement des personnels locaux, ce qui est très bien, donc ils connaissent leur propre territoire. On amène surtout des outils supplémentaires en termes d’analyse, de remontée d’informations, qui permettent d’avoir plus de vue d’ensemble, d’aller plus vite et aussi de faciliter la coopération entre acteurs.

Isabella Vanni : Si j’ai bien compris, vous vous appuyez, en fait, sur les acteurs locaux pour la récolte, on va dire, des informations et à Chambéry vous apportez votre expertise pour compléter ?

Martin Noblecourt : Nous sommes vraiment ce qu’on appelle une ONG support, c’est-à-dire que nous ne développons pas le fond des projets, on va aider des organisations qui vont travailler, par exemple, sur les thématiques médicales, sur de l’aide alimentaire ou sur des projets d’environnement. En fait on leur apporte des outils pour être plus, on va dire, efficaces, plus complets, plus inclusifs dans leur travail. Après ça va vraiment dépendre des thématiques, on s’adapte. La plupart de ce qu’on fait concrètement c’est de la formation, c’est-à-dire qu’on accompagne ces organisations, on les aide à définir leurs besoins, à comprendre, à identifier les outils qui leur sont utiles, on les forme, on les accompagne, des fois on les aide un peu dans la mise en œuvre et après elles sont censées se débrouiller pour utiliser ces outils durablement dans la mise en œuvre de leurs activités.

Isabella Vanni : Si on va sur le site de CartONG – on a mis la référence sur la page consacrée à l’émission – on peut voir que vous avez vraiment des projets dans tout le monde. On avait dit que vous mettez la plupart de vos ressources sous licence libre Creative Commons Attribution, CC By. Pourquoi ce choix ?, même si je m’en doute bien, mais je pense que c’est important de le rappeler. Quelles sont les ressources que vous mettez sous CC By et pourquoi ?

Martin Noblecourt : C’est vrai que ça fait quelques années qu’on fait systématiquement cette demande à nos bailleurs et partenaires, c’est-à-dire, quand on développe de la documentation, de pouvoir la publier en licence libre. Dans la très grande majorité ils acceptent, les rares fois où on ne fait pas ça, c’est parce qu’il y a un peu des dimensions de confidentialité ou de vie privée.
On a fait ce choix-là déjà pour en faire bénéficier au plus grand nombre, ça nous paraissait naturel. En plus, étant une association, même quand ce sont des partenaires ONG qui nous financent, la quasi-totalité du financement qu’on reçoit c’est, en fait, de l’argent public directement ou indirectement. Ça nous paraissait aussi tout à fait naturel que ce soit remis au service de l’intérêt général.
Donc effectivement, depuis quelques mois, on a lancé un portail qui s’appelle IM (Information Management) Resource Portal. On est en train de compiler toute notre documentation et, normalement, toutes les ressources qui sont dessus sont sous licence libre.

Isabella Vanni : Merci. Nous allons rajouter cette référence, elle n’y est pas encore, mais il y a déjà un lien pour ce portail j’imagine ou pas encore ?

Martin Noblecourt : Oui. Cet outil-là est quand même plutôt destiné à un public professionnel du secteur humanitaire, on va dire.

Isabella Vanni : D’accord. Je m’en doute bien.
Pour faire la cartographie, vous utilisez un outil, un projet, une initiative dont on a déjà parlé à plusieurs reprises dans notre émission qui est OpenStreetMap. Je voulais te demander quel est le lien entre CartONG et OpenStreetMap ? Comment s’articulent vos relations ?

Martin Noblecourt : Ce qu’il faut déjà voir c’est qu’OpenStreetMap est un projet qui est énormément utilisé à l’international, je pense que vous avez déjà eu l’occasion d’en parler, parce qu’il permet de compléter, en fait, et de remplir l’absence, dans de nombreux pays de bases de données géographies existantes de qualité. Au-delà de l’aspect, on va dire, philosophique c’est déjà opérationnellement une nécessité pour énormément d’organisations qui travaillent dans le secteur de la solidarité internationale. Pour nous c’était un petit peu un choix naturel.
Au-delà de ça, ça fait plusieurs années que nous essayons de soutenir l’écosystème OpenStreetMap dans la mesure de nos moyens. Il y a de très nombreuses organisations aujourd’hui dans l’humanitaire qui utilisent, qui soutiennent, qui appuient OpenStreetMap ; c’est d’ailleurs assez débattu, c’est un écosystème très riche. Au niveau de CartONG ça a pris notamment la forme d’une participation à un projet qui s’appelle Missing Maps qui, comme son nom l’indique, vise à cartographier les endroits dans le monde à où il n’y a pas de données en utilisant OpenStreetMap plutôt dans une logique, on va dire, de préparations aux catastrophes et de projets de développement. C’est-à-dire qu’on va être sollicité soit par un acteur humanitaire international, soit par une organisation plus locale qui va nous dire « j’ai besoin de données cartographiques sur mon territoire », donc on va cartographier, à distance, ce qu’on peut et les appuyer pour collecter de la donnée sur place.

Isabella Vanni : Missing Maps est un projet qui est né à l’initiative de CartONG ou vous l’avez rejoint ?

Martin Noblecourt : Au départ c’est une initiative de Médecins Sans Frontières, de plusieurs branches de la Croix-Rouge et d’une ONG qui s’appelle Humanitarian OpenStreetMap Team, qui est justement spécialisée sur la thématique. On a rejoint assez rapidement et, en fait, c’est un peu devenu le réseau des acteurs humanitaires qui veulent soutenir OpenStreetMap, avec, encore une fois, la richesse d’OSM. Vous avez une fondation OSM qui est un peu le truc tutélaire qui régule, on va dire, le projet, mais en fait, après, c’est extrêmement divers. Vous allez avoir plein de groupes locaux dans le monde entier, y compris beaucoup de communautés OpenStreetMap qui se sont développées dans les pays qu’on dirait du Sud. Généralement, quand nous développons un projet, nous essayons au maximum de nous connecter avec cette communauté locale, de la soutenir, de la mettre en avant vis-à-vis des acteurs locaux, notamment institutionnels, puisque c’est toujours un combat pour ces acteurs d’avoir une visibilité, de paraître crédibles vis-à-vis de leurs acteurs institutionnels nationaux. Il y a aussi une foultitude d’entreprises privées, d’ONG, etc., qui utilisent ce projet. C’est vraiment la logique du commun numérique qui fait qu’on peut se retrouver, dans certains pays, à avoir des entreprises comme Apple ou Facebook qui cartographient sur OpenStreetMap à côté de grandes ONG internationales, d’agences gouvernementales ou de la communauté de base. Chacun a un peu sa perspective sur le projet, son approche. Le modèle de données étant très libre, on peut aussi venir y ajouter des informations qui intéressent plus ou moins tel angle. Par exemple, il y a beaucoup d’associations qui travaillent sur l’accessibilité ou sur ce genre de choses, mais, à côté de ça, vous pouvez avoir aussi des usages tout à fait privés, normalement tout le monde met au pot commun et ça se régule parfois un petit peu avec du conflit, mais la licence ODbL [Open Database Licence] d’OSM permet normalement de réguler tout ça.

Isabella Vanni : Notre émission raconte les libertés informatiques et donne aussi des idées pour agir, pour les personnes qui souhaitent contribuer. L’intérêt du projet Mising Maps c’est que n’importe qui peut contribuer ou je me trompe ?

Martin Noblecourt : Oui, effectivement. On utilise les outils OSM et on utilise de préférence les plus accessibles. On organise des évènements qui s’appellent des « mapathons ». CartONG en organise normalement à peu près toutes les semaines, c’est le lundi soir en ligne. On en fait aussi régulièrement en présentiel, il y en a un ce soir à Lyon par exemple. On tourne en France, il y en a à peu près un par mois. On en fait aussi régulièrement en université pour sensibiliser les étudiants. Pendant ces évènements, on vous apprend à utiliser les outils de base d’édition sur OpenStreetMap, donc en éditant sur de l’imagerie satellite, ce qu’on voit à distance. Ça fait une première initiation qui nous permet à la fois se sensibiliser sur le travail qu’on fait, les causes qu’on soutient et l’usage de la cartographie, de faire découvrir OpenStreetMap à un plus vaste public et on espère aussi, comme ça, mobiliser des gens qui deviendront des bénévoles qui, ensuite, se formeront on va dire sur des outils plus avancés de collecte, à la fois de collecte de terrain, de travail à distance et même après d’aller plus sur des outils du SIG et d’analyse cartographique plus avancée.

Isabella Vanni : Tu as parlé d’évènements à distance. J’ai vu sur votre rapport d’activité 2020 – qui est super bien fait, si vous voulez aller plus loin dans la découverte de CartONG, je vous recommande vraiment de le consulter – que la pandémie, qui vous a empêchés de faire « mapathons » en présentiel, a finalement été une occasion – voyons le positif – de recruter de nouvelles personnes, de nouveaux bénévoles. Est-ce que c’est bien le cas ?

Martin Noblecourt : Oui. Tout à fait. La limite de l’approche qu’on avait jusqu’à présent c’est qu’en faisant en présentiel on faisait ça dans les villes où on est le plus présents, plutôt en Rhône-Alpes et à Paris. Là ça nous a permis à ouvrir à un vaste public ailleurs en France et aussi à l’étranger. Au niveau international il y a plein de choses équivalentes de ce type, mais c’est vrai qu’en francophone on est un petit peu les seuls, ça nous a permis d’accueillir pas mal de monde. Maintenant on aimerait aller plus loin dans cette articulation entre des gens qui viennent nous voir, font un « mapathon » chez nous, mais, en fait, sont basés dans un pays x, en Afrique ou en Asie et qui auraient plein de choses à faire chez eux, mais ce n’est pas forcément évident de les accompagner pour aller rencontrer les acteurs de leur territoire, peut-être des associations, ce genre de choses, qui auraient besoin de cartes et qui pourraient venir aider directement. Ça fait un petit peu partie de la feuille de route stratégique qu’on s’est fixée pour les prochaines années. On va le faire en toute modestie, dans la limite de nos capacités évidemment, mais c’est vers ça qu’on aimerait aller, vraiment aider ces contributeurs OSM ou cartographiques en général, il y a aussi plein d’autres outils locaux, à pouvoir venir en aide aux projets d’intérêt général de leur territoire.

Isabella Vanni : Donc il y a de nouvelles perspectives qui s’ouvrent, comme quoi quand il y a un problème il y a une solution, on peut aller encore plus loin.
J’imagine, effectivement, qu’il y a déjà une grande satisfaction, pour les personnes qui participent à ces « mapathons », de pouvoir contribuer à OpenStreetMap, une grande satisfaction aussi de pouvoir contribuer à des projets humanitaires. Je vois, toujours sur votre rapport d’activité, que vous avez cartographié au moins 50 sites de réfugiés, donc ça fait toujours partie du projet Missing Maps, des sites qu’on a du mal à voir et à rendre visibles.
Le temps file très vite. Est-ce qu’il y aurait quelque chose que tu souhaites ajouter par rapport à CartONG, par rapport à Missing Maps ?

Martin Noblecourt : Simplement repréciser aux gens qu’ils peuvent venir s’inscrire aux « mapathons ». On met de la comm’ sur nos réseaux sociaux et sur notre site ; c’est tous les lundis, c’est une excellente occasion de découvrir OpenStreetMap, CartONG et, pourquoi pas, de s’engager plus avant dans le bénévolat. S’il y a des gens que le sujet intéresse tout particulièrement, on organisera aussi l’an prochain, on le fait tous les deux ans, un plus gros évènement qui s’appelle GéONG, à Chambéry, ça sera l’automne. Si des gens sont intéressés par la cartographie humanitaire, c'est le gros évènement sur le sujet en Europe.

Isabella Vanni : Merci beaucoup Martin et bonne continuation.

Martin Noblecourt : Merci à toi.

Isabella Vanni : Nous allons maintenant faire une pause musicale.

[Virgule musicale]

Isabella Vanni : Nous allons écouter un morceau d’un groupe anglais qui s’appelle Vienna Ditto. Ils décrivent leur musique comme du drum machine gospel ou du voodoo sci-fi – pour science-fiction – blues. Vous aurez compris, il y a de la batterie électronique, des sonorités blues bien revisitées. J’ajoute que la guitare électrique joue aussi un rôle important dans leur musique et que la voix féminine est particulièrement envoûtante. Je vous laisse découvrir le morceau. Voici donc Liar Liar par Vienna Ditto sous licence libre CC By 3.0. On se retrouve juste après. Belle journée à l’écoute de Cause Commune, la voix des possibles.

Pause musicale : Liar Liar par Vienna Ditto.

Isabella Vanni : Nous venons d’écouter Liar Liar par Vienna Ditto. À un moment, dans le morceau, on entend une séquence de notes qui rappelle pas mal le thème des génériques de James Bond, je ne sais pas si vous avez remarqué. Ça m’a fait sourire, car il y a un film de James Bond qui est sorti au cinéma récemment. Je précise que j’ai découvert ce morceau tout récemment. J’avais hâte de vous le proposer, donc mon choix n’a rien à voir avec la sortie du film, c’est vraiment le hasard. Vous retrouverez les références sur april.org et sur causecommune.fm. Ce morceau est disponible sous licence libre Creative Commons Attribution, CC By qui permet la réutilisation, la modification, la diffusion, le partage de cette musique pour toute utilisation y compris commerciale à condition de créditer l’artiste, d’indiquer la licence et d’indiquer si des modifications ont été effectuées.

[Jingle]

Isabella Vanni : Passons maintenant au sujet suivant.

[Virgule musicale]

Le système d’information géographique libre QGIS. Rediffusion du sujet long de l'émission du 9 mars 2021

Isabella Vanni : Lors du premier sujet nous avons parlé de cartographie, de données sous licence libre. Le sujet principal d’aujourd’hui traite aussi de ces thèmes, car il porte sur le système d’information géographique libre QGIS. Nous vous reproposons un échange qui a été diffusé lors de l’émission du 9 mars 2021. Je vous propose donc d’écouter ce sujet et on se retrouve juste après.

[Virgule sonore]

Cf ICI

[Virgule sonore]

Isabella Vanni : Vous êtes de retour en direct sur radio Cause Commune. Je suis Isabella Vanni. Nous venons d’écouter une rediffusion d’un sujet du 9 mars 2021 sur le système d’information géographique libre QGIS.
Nous allons faire maintenant une pause musicale.

[Virgule musicale]

Isabella Vanni : Nous allons écouter un morceau de piano de Loik Brédolèse, artiste d’origine néo-calédonienne. Le morceau voit la participation du DJ Fadewell, donc vous vous en doutez bien, il n’y aura pas que du piano. Je vous laisse donc découvrir A piano theory (ft. Dj Fadewell) par Loik Brédolèse sous licence libre CC By 3.0 et on se retrouve juste après. Belle journée à l‘écoute de Cause Commune, la voix des possibles.

Pause musicale : A piano theory (ft. Dj Fadewell) par Loik Brédolèse.

Isabella Vanni : Nous venons d’écouter A piano theory par Loik Brédolèse, disponible sous licence libre Creative Commons CC By 3.0 et, comme le disait mon collègue Étienne sur le salon de web-chat de Libre à vous !, il y avait du scratch, ça veut dire qu’il y avait une action humaine sur des disques vinyles pour changer la vitesse et faire le son que vous avez entendu à deux moments. Étienne ajoute que ça lui fait penser un peu à  Nujabes ; je ne connais pas ce groupe ou artiste, mais n’hésitez pas à vérifier vous-même.

[Jingle]

Isabella Vanni : Je suis Isabella Vanni. Nous allons passer au sujet suivant.

[Virgule musicale]

Chronique « À coeur vaillant, la voie est libre », de Laurent et Lorette Costy, sur le thème du magasin d'application F-Droid

[Virgule musicale]

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