FAQ du GdT Transcriptions

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Cette page contient la Foire Aux Questions du groupe de travail Transcription de l'April.

Ne pas hésiter à proposer de nouveau sujet sur IRC ou sur la liste de diffusion du groupe.

Comment sont choisies les vidéos transcrites ?

La plupart du temps, ce sont les transcripteurs, eux mêmes, qui choisissent les médias qu'ils veulent transcrire. Il est hors de question d'imposer quoi que ce soit.

Mais vous pouvez envoyer un courriel à transcriptions AT april POINT org, avec un lien vers la vidéo qui vous intéresse. Elle sera traitée le plus rapidement possible.

Si une personne propose une transcription sera-t-elle acceptée ? Si oui, selon quels critères ?

Bien sûr, si elle concerne la défense et la promotion du Logiciel Libre. En cas de doute, c'est le CA qui tranche. Pour nous envoyer une proposition, il suffit de la poster sur la liste transcriptions@.

Sous quelle licence sont publiées les transcriptions ?

Les œuvres qui expriment l'opinion de quelqu'un (mémoires, éditoriaux, etc.), servent un propos fondamentalement différent d'une œuvre d'usage pratique comme les logiciels ou la documentation. À cause de cela, nous nous attendons à ce qu'elles donnent aux destinataires un ensemble de permissions différentes : la permission de copier et de distribuer l'œuvre telle quelle.

C'est pourquoi le groupe utilise la licence Verbatim. On peut étudier, copier, réutiliser mais pas modifier les propos des intervenants.

A-t-on le droit de tout transcrire même sans avoir des accords de captation ou licence libre sur une vidéo ?

Transcrire oui, publier non. Le rôle de l'animateur du groupe est de demander leur accord aux intervenants qui sont transcrits avant de publier sur le site de l'April.

Comment fait-on pour avoir l'accord d'une personne qui est intervenue lors d'une conférence, juste pour poser une question ?

Si quelqu'un accepte de prendre la parole en public, lors d'une conférence qu'il sait être filmée et donc enregistrée, nous partons du principe qu'il est d'accord pour qu'on reprenne ses propos. En plus, là, c'est sur que ce sera fidèle, et non pas répété par quelqu'un qui le fera de mémoire (et donc pourrait modifier sans le vouloir).

Quelques rappels de typographie

Références

Force est de constater que nous ne sommes pas les premiers à nous poser la question. Étonnamment, il n'y a pas un document officiel universel. Jusqu'il y a peu, c'est l'Imprimerie nationale était le repère. Depuis quelques temps, des acteurs majeurs partagent leur recherches à ce sujet.

Voici quelques références où trouver l'état de l'art en ce qui concerne les conventions de typographie française :

Majuscules

Références :


Italique

Sert principalement à faire une emphase, c'est à dire une mise en relief d'un groupe de mot en particulier.

Références :

Exemple de cas :

  • locutions ou mots étrangers non naturalisés :
    • « Je pense que, de facto, cela est vrai. »,
    • « Voilà un exemple de melting pot classique. »,
  • devises, les maximes et les proverbes, quelle que soit la langue :
    • « Oui, Liberté, Égalité, Fraternité est la devise de la République française. »,
    • « Oui, In God We Trust est la devise des États-Unis. »
  • L’italique n’est en revanche pas utilisé pour les noms de sociétés et d’organismes étrangers, pour lesquels l’écriture en romain (dans un paragraphe en romain) est conservée, avec capitale initiale aux substantifs et aux adjectifs.
    • l’Open Knowledge Foundation

Guillemets, citations et ponctuation

Références :

Principes :

  • au clavier (sous GNU/Linux), souvent accessible par AltGr-w et AltGr-x ;
  • code Unicode accessible au clavier via Ctrl-Shift-u-00AB et Ctrl-Shift-u-00BB ;
  • un espace avant et après un guillemet (ouvrant ou fermant) ;
  • si le contenu du guillemet fini par un point (point, point d'interrogation, etc.) alors pas de point après le guillemet fermant ;
  • en cours

Cas concrets :

  • Exemple : Le Loup et l'Agneau commence par ces mots : « La raison du plus fort est toujours la meilleure. » Et le texte continue après.
  • Exemple : La cigale de la fable, « fort dépourvue », fut contrainte d'aller chercher secours « chez la fourmi sa voisine ».