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| == Page créée par erreur ==
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| Bonjour,
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| Vous avez créé le 29 avril une catégorie transcription (sans s) avec un texte de Benoit visiblement en référence à cette page :
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| [[Le_vote_%C3%A9lectronique._En_quoi_le_logiciel_libre_n%27est_pas_la_solution,_conf_de_Beno%C3%AEt_Sibaud]]
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| La catégorie du groupe est transcriptions (avec un s)
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| J'ai donc transféré le contenu de catégorie:transcription vers la page ci-dessus. La page ci-dessus créée par booky n'avait pas la bonne catégorie, je l'ai corrigé aussi.
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| Merci.
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| [[Utilisateur:Fboulogne|François]] <sup><small>[[[Discussion Utilisateur:Fboulogne|Pour me parler]]]</small></sup> 2 mai 2012 à 08:39 (CEST)
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| == Les licences libres, pourquoi et comment.... Conf Benjamin Jean ==
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| http://ubuntu-paris.org/video/ubuntu-party-paris-2011-11-11_licences-libres-pourquoi-et-comment_benjamin-jean
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| Enchanté d’être avec vous cet après-midi.
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| J'ai simplifié un peu. A l'origine c'était relativement long, j'ai essayé de prendre quelque chose de plus succinct et « les licences libres pourquoi et comment ? »
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| Et finalement j'ai assez bien visé. La dernière fois que j'étais venu le public était plutôt restreint, donc j'ai souhaité faire quelque chose de plus interactif. Je vais vous poser des questions et essayer d'avancer sur ces différents... Il y a en a qui seront, qui pourront se dispenser de répondre. Mais voilà, essayer d'avancer comme ça de façon interactive et de voir ce qui vous intéresse le plus, sachant qu'il nous reste 41 minutes encore pour avancer sur le sujet, ce qui sera largement suffisant.
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| Qui suis-je ? Benjamin Jean. Là c'est dans le cadre de Veni, Vidi, Libri qui est une association qui a été crée en 2004- 2005 peut-être, dans le cadre de Framasoft, une autre association du logiciel libre dont je fais aussi partie, et on souhaitait aider les développeurs à l'origine et les créateurs de manière générale à utiliser les licences libres. Voila. On faisait de l'assistance via les forums au début, on a eu de plus en plus de mels et on s'est dit bon, plutôt que de se répéter sans cesse, on va mutualiser sur un site qui s'appelle venividilibri.org, venilibri marche aussi. Voila. On mutualise et on essaie d'avancer sur ces sujets là. Par ailleurs je suis juriste. Je travaille principalement sur ces aspects et je crois que c'est tout.
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| 1'37
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| Qui dans la salle est développeur ?
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| D'accord ?
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| Qui a déjà utilisé des licences libres ?
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| D'accord.
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| Est-ce qu'il y a des créateurs qui ne sont justement pas des développeurs, donc plutôt photos, plutôt images, vidéos, d'autres utilisations des licences libres.
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| Non, c'est essentiellement le logiciel, ce qui ne serait pas étonnant dans le cadre de Ubuntu Party, mais autant demander.
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| Donc voilà les quelques questions que j'ai voulu poser et sur lesquelles je voulais discuter avec vous. C’était « Quand parle t-on de licences libres ? A quoi servent-elles ? Est-elle vraiment nécessaire ? Comment les utilise t-on ? Comment doit-on les lire ? Sont elles suffisantes ? Seront-elles toujours nécessaires ? » Voila.
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| Et puis ensuite on pourra toujours compléter avec les questions que vous vous auriez à l'esprit, si dans ces différents points on ne retrouve pas tout. Donc voilà !
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| 2'45
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| Première partie : Quand parle t-on de licence libre ? Si je vous parle de licence libre qu'est-ce que ça vous... ? Quand est-ce que vous voyez l'utilisation d'une licence libre ? A quoi ça vous fait penser ? Allez-y je vous écoute.
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| D’accord ! Quel est l'objet sur lequel on pourrait utiliser des licences libres ?
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| Les œuvres de l'esprit, d'accord, c'est déjà une réponse bien fouillée . Oui ! Autre chose ?
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| Tout ce qui est immatériel, œuvre de l'esprit. D'accord. J'ai entendu un début de réponse ici.
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| Les logiciels... oui oui oui. C'est une œuvre de l'esprit qui est immatérielle. Pour l'instant on est cohérents, tant mieux ! Oui, oui.
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| Photos, musiques, vidéos... les livres. Oui. Créations. Oui. Musiques. D'accord. Est qu'il y a d’autres usages qui vous verriez des licences libres, ou d'autres objets objets immatériels puisque effectivement on est dans le domaine de l'immatériel, sur lesquels on pourrait utiliser des licences ?
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| Est-ce que quelqu'un ici a entendu parler je ne sais pas de l'Open hardware, ou Arduino par exemple, le mouvement de l'Open Data, parce qu'on en entend pas mal parler en ce moment, ces collectivités qui mettent à disposition leurs données, alors là ce sont des informations publiques, pour que les gens, puissent que les gens puissent, donc les sociétés par exemple puissent par exemple créer des services autour de leurs données. C'est quelque chose qu'on voit beaucoup dans le domaine public, mais qui se développe aussi dans le secteur privé.
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| Est-ce qu'il y a encore autre chose ? Là, on est dans une phase où tout, les licences libres appliquées aux logiciels, aux œuvres de l'esprit classiques on sait assez bien faire. Mais il y a cette tentative de reproduire le modèle initial, on va y revenir, dans d'autres sphères. Est-ce que vous avez entendu parler de licence libre ou de quelque chose libre en dehors
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| du logiciel, des créations, matériels, numériques ?
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| Copyright, copyleft. On y reviendra aussi sur l'utilité des licences. Des idées ?
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| Non... il y a tout ce qui est format ouvert, aussi. Alors là on n'est plus dans le domaine des licences libres, mais c'est quelque chose qui est très complémentaire. Pareil, les définitions liées quand est-ce qu'on peut appeler un format ouvert et compagnie. Il y a le Open Cloud aussi. Je ne sais pas si vous avez entendu parler. C'est l'idée en fait que l'utilisateur d'un service dans les nuages doit pouvoir rester libre. Donc avec une définition aussi attachée à cette liberté. Non ? On y reviendra. C'est vraiment juste pour brasser un peu, voir ce que vous avez à l'esprit et ce qui vous parle. Traiter ensuite tous ces sujets. D'accord.
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| Alors, quelle est leur forme ? Quand je vous parle de licence libre, sous quelle forme on voit les licences libres généralement ? Comment elles se concrétisent ?
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| Est-ce que c'est, je ne sais pas un … Ce type de flyer qu'on retrouverait lorsque vous allez à l'Ubuntu Party par exemple. Est-ce que c'est quelque chose justement de plus immatériel ? Comment vous voyez, quand est-ce que vous retrouvez des licences libres ? Dans quelle situation ?
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| Oui....
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| Interface interactive. Oui c'est ça. Effectivement. Donc, lorsqu'on installe un logiciel et qu'il y a un interface utilisateur on voit généralement quelle est la licence qu'il oblige. L'affichage des conditions, des mentions légales et des termes de la licence avec un lien vers la licence.. D'accord ! Oui, dans l'en-tête du code source par exemple. Alors c'est pas toujours toujours le cas, mais ça devrait... et c'est quand même un principe.
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| D’accord. Là c'est des renvois aux licences. Les licences elles-mêmes, vous allez les retrouver à quel moment ? Quand est-ce que sur internet par exemple ou dans votre usage classique de l'outil, de ordinateur, vous êtes tombé sur une licence ? Vous l'avez lue, vous ne l'avez pas lue peu importe mais quand est-ce que vous êtes tombé dessus ?
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| A l’installation ? Oui. Toujours qu'à l'installation ?
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| Oui, oui.... effectivement
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| Quand vous utilisez aussi, quand vous voyez des images Creative Commons sur un article de blog ou quoi que ce soit, généralement vous avez aussi la mention donc de la paternité qui est l'auteur de la licence avec un lien vers le texte entier de la licence. Creative Commons c'est un peu plus fouillé, donc il y a plusieurs stades intermédiaires. Avant de tomber sur le texte intégral, vous allez tomber sur un résumé, d'abord des logos, puis ensuite un résumé, et enfin le texte intégral.
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| Dans le domaine des logiciels aussi plus simplement. Vous téléchargez le logiciel en question. Vous avez un fichier licence, .txt dans lequel vous avez la licence. Effectivement avec un regard de juriste ça paraît automatique d'aller voir le fichier ; je conçois que ça soit pas le réflexe de tout le monde. Mais c'est aussi une autre façon d’avoir accès à ces licences. C'est aussi une autre façon d'avoir accès à ces licences. Donc quelle sont les variantes.
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| Là je voulais évoquer tout ce qui étai Open cloud, open hardware. On a maintenant d'autres définitions pour les Open Contains, les contenus ouverts. Alors, c'est plus large que le contenu en fait. C'est ouvrir tout ce qu'on possède. J'exagère, mais c'est une définition qui embrasse notamment celle de la FSF, donc la définition du logiciel libre, la définition des Creative Commons, la définition des données libres. C'est de prendre un peu de hauteur et essayer de regrouper, d'appliquer une seule définition à un ensemble de créations.
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| Donc quelles sont les principales définitions. J'ai abordé rapidement le sujet, mais quelles sont les définitions qui vous parlent dans le domaine des licences libres, dans le domaine du libre de manière générale. Qu'est-ce que vous connaissez comme définitions ? J'en ai déjà cité 2, 3 je crois.
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| Non, non non... Des définitions. Alors, la plus connue c'est sûrement la définition du logiciel libre par la Free Software Fondation. La Free Software Definition. Est-ce qu'il y en d'autres qui ont déjà été évoquées, qui vous parlent ?
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| L'Open Source Initiative, oui, qui a rédigé sa propre définition, l'Open Source définition.
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| Définition Debian, la charte Debian, oui tout à fait, qui a ensuite donné naissance à la définition de l'OASI. Oui. Est-ce qu'il y en a d'autres ?
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| Alors définition Apache ?
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| Je ne crois pas qu'ils y aient une définition en tant que telle. Ils ont une politique au sein de leur projet, c'est-à-dire qu'ils vont utiliser uniquement tel type de licence et dans tel process de validation de licence. Mais je ne crois pas qu’ils aient une définition vraiment.
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| Debian c'est assez particulier puisque c'étaient les premiers. C'est la première distribution libre en fait. Et en l'absence d'autre définition de celle de la Free Software Fondation, ils avaient eu le besoin, nécessité, ressenti le besoin de créer leur propre définition de ce devait être une distribution libre.
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| La LAL, qui est la licence Art Libre, dans le domaine de l'art libre on a effectivement aussi une définition liée à qu'est-ce que l'art libre et qui est directement, qui est formalisée par la licence Art Libre.
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| La Creative Commons aussi avait une pseudo définition, on vous a expliqué quelles étaient les libertés minimum que devait avoir une licence dans le domaine des œuvres de l'esprit, de permettre la diffusion, la reproduction, la copie, la diffusion en fait au minimum et ensuite tout ce qui était commercial pouvait ou non être autorisé ; ce qui était modification pouvait ou non s'ajouter à ce panel de liberté donc voilà et en fait toutes les variantes qu'on voit. Si vous avez disons 10 minutes sur internet, vous essayez de trouver les définitions rattachées à ce qui est open, ou ce qui est libre, je synthétise, vous tomberez sur énormément de définitions qui ont été ou pas suivies d'effet, mais l'Open Hardware c'est un assez bon exemple de quelque chose qui existe depuis 3, on va dire 3 à 5 ans et qui vraiment décolle là en ce moment. On en entend de plus en plus parler, il y a des définitions qui ont vraiment été formalisées. A coté de ça, il y a des licences qui sont adaptées qui ont été écrites vraiment pour le type d'objet l'hardware, donc que ça soit.. Quand je vous dit hardware, ça vous parle ou pas ? Parce que j'utilise des termes c'est pas forcément, ça évoque pas forcément la même chose à tout le monde.
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| Le logiciel libre tout le monde connaît, tout le monde connaît Fred Couchet qui nous fait l'honneur de sa présence.
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| L'Open Hardware, c'est essayer de reproduire un peu les principes mais dans quelque chose qui est physique. Donc par exemple ça va être, alors généralement, ça passe par les spécifications. Qu'est-ce que je vais partager pour permettre à d'autres personnes de construire la même chose que moi ? Et si j'ai des brevets, si j'ai des droits, par exemple si j'ai la topographie des semi-conducteurs, si j'ai des droits de propriété intellectuelle sur des objets que j'ai conçu, je vais les partager de sorte à ce que d'autres personnes puissent reconstruire, éventuellement améliorer et partager eux-mêmes leurs améliorations. Et c'est un peu les principes du logiciel libre mais dans quelque chose de matériel pour le coup. On peut le retrouver dans Arduino c'est assez bon exemple de ce qui est processeur, on a la même chose dans les cartes mères, on a le même chose dons les...Bon. Je ne veux pas tout lister, mais c'est vraiment le même modèle qui est en route.
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| Donc on a une définition aussi de ce qui est Open Cloud, on a une définition de ce qui est Open Content et j'en passe.
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| Maintenant, les licences à quoi servent-elles ? Là le but c'était vraiment de discuter ensemble de discuter ensemble qu'est-ce que veut dire le terme de licence libre et qu'est-ce que vous voyez derrière.
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| Quels sont les effets attendus, à votre avis lorsqu'on utilise une licence libre. Pourquoi utilise t-on une licence libre ?
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| Alors, pour partager. C'est vraiment l'idée. En fait le point commun avec tout ce qui a été évoqué jusqu'à maintenant c'est on parle de création, on parle d’innovation, on parle de quelque chose qui est très immatériel, voilà, et quelque chose qui a été réalisé, qui a été imaginé, construit, matérialisé, et ensuite là-dessus, bon ben on va essayer de le partager.
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| On en vient très rapidement à la notion de propriété intellectuelle, de droit de propriété artistique, de brevet, droit d'auteur, droit generis.
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| Je vais être très bref là-dessus.
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| L'idée c'est que des droits sont reconnus dans certaines conditions, à certains auteurs, en tout cas à certains créateurs ou innovateurs. J'ai créé ces slides. Pour peu qu'on considère qu'ils sont originaux et à partir du moment où ils ont été formalisés dans le cadre de cette présentation, je suis auteur de ces slides. Quiconque souhaite ensuite réutiliser les slides doit me demander l'autorisation. Voila, c'est la loi. C'est tout simple. La loi en fait a créé des monopoles, des droits d'exclusivité. Je peux moi, décider, je suis le seul à décider ce qu'il adviendra de cette présentation. Et justement étant le seul à décider, j'ai mentionné 2 licences qui peuvent permettre la réutilisation de cette présentation. Je ne vous le dit pas pour que vous réutilisiez la présentation massivement. Vous pouvez. A vous ensuite de voir ce que vous désirez en faire. Mais l’idée c'est vraiment ça. J'ai une exclusivité, j'ai décidé de la partager. Et effectivement les licences libres c'est vraiment ça. C'est un accord, un contrat en fait tout simplement entre quiconque dans la salle, quiconque qui rentrerait en possession de ces slides et qui veut réutiliser. Je lui dis moi auteur je suis seul à décider de ce qui peut en être fait, j’autorise et là très largement, parce qu'en plus j'ai mis 2 licences qui permettent l’utilisation de cette création de l’esprit pour reprendre les termes qui avaient été évoqués de cette œuvre. En droit on parle d’œuvre. ça peut paraître un peu présomptueux, la notion attachée au droit d'auteur, l'objet du droit d'auteur c'est l’œuvre et cette œuvre je la partage avec quiconque. Donc, l'idée par les licences libres, c'est de partager.
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| 15'36
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| La question qui suit est-ce toujours nécessaire selon vous d'utiliser une licence libre ?
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| Est-ce que ça vous paraît logique que je vous dise voyez, j'ai des droits mais moi je veux, j'ai des droits sur quiconque de la jouissance de cette œuvre et je décide au contraire de la partager. Pour que tout le monde puisse le faire. Est-ce que cette logique finalement qui peut paraître illogique, est-ce que ça vous parle ? Est-ce que vous voyez pourquoi je fais ça ?
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| Oui favoriser la diffusion, mais est-ce qu'il n'y aurait pas d'autres façons de le faire ? Est-ce que c'est nécessaire en fait.
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| C'est ça, là l'idée en fait les droits, la loi va nous donner des droits. L'évolution automatique : je suis auteur, au fur et à mesure que je rée que je formalise, je détiens des droits exclusifs sur ce que j'ai créé. Si je ne dis rien, si je diffuse ces slides sans ajouter une quelconque licence, vous n'avez rien le droit de faire sauf à venir me voir.
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| C'est ça : la loi s'applique par défaut. C'est le principe de la loi. Elle est opposable à tous. Nul n'est censé ignorer la loi. Bon je vous passerez sur les détails. L'idée c'est vraiment, on a la loi qui pose un cadenas juridique et nous, donc de part la loi on détient certaines prérogatives, on a des droits en plus que les autres, sur ce qu'on a créé, on décide de les utiliser de cette façon là.
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| Mais pour autant il y a certaines situations. Imaginons que l'on considère que ces slides ne sont pas originaux. Quiconque peut les réutiliser sans me demander quoi que ce soit ; je ne suis pas auteur au terme de la loi donc je n'ai aucune prérogatives.
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| Si ces slides s'appliquent encore 70 ans après ma mort, pour autant que les droits d'auteurs n'est pas étendus, on envisagera, ces slide seront dans le domaine public, cette présentation sera dans le domaine public. N'importe qui pourra la réutiliser sans demander quoi que ce soit à mes ayants-droit, personnes qui m'auront succédé. Donc le principe c'est oui elles sont nécessaires, dans 99 % des cas ; mais dès lors que la loi ne me donne pas des droits en plus sur quiconque, il n'y a aucune raison d'utiliser une licence. Ça c'est une question qu'on voit, qui est revenue vraiment récemment à la surface.
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| Tout à l’heure je vous parlais des Open data, du mouvement de l'Open data. On ouvre les données plus massivement. Alors c'est intéressant. C'est-à-dire que j'ai des données, j'ai plein de données, et maintenant on sait que à l'ère d'internet ça vaut énormément d'argent. Tout le monde cherche à avoir le maximum d'informations et l'information ensuite la traiter pour la valoriser au mieux. Donc on amasse des quantités des quantités et on en tire ensuite un certain profit. Pour autant on peut décider de partager pareil ses données.
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| Projet Open Street. Je ne sais pas si ça vous parle. Pour moi c'est un assez bon exemple. Donc voilà des personnes lambda qui se baladent avec des GPS, font des relevés, envoient leurs relevés GPS à un serveur ; lui concentre tout, bon il les traite, il les arrange un peu et à partir de ça ensuite il permet de produire par exemple des cartes de type Google Maps. C'est beaucoup plus large d'utilisation Open Street. Mais l'exemple carte produite grâce aux relevés GPS, mais des relevés qui peuvent être des routes, qui peuvent être des chemins de randonnée, qui peuvent être tout et n'importe quoi. Que je puisse dire à tel endroit, par exemple, qu'il y a un stop. Je peux m'amuser à faire un relevé de tous les stops de ma ville. Et ensuite de les envoyer sur Open Street Map.. Alors je ne sais pas si ça serait pertinent pour le projet Open Street Map. Je ne sais plus exactement quels sont leurs critères, mais ils sélectionnent les données qui peuvent être exposées. En revanche il y a d'autres services qui fonctionnent en complément d'Open Street Map,
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| Donc on envoie l'autre communauté d'utilisateurs avec que des gens qui relèvent tous les stops de toutes les villes de France. Ils construisent leur propre base de données et ensuite je fais interagir les 2 bases de données et j'ai une carte de France avec tous les stops. Bon, l’utilisation que j'imagine n'est pas forcément la meilleure, mais ça peut servir.
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| Pardon ?
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| Par exemple tous les radars de France. Oui ça pourrait être une idée avec en plus l'aspect communautaire. Et ce qui est intéressant c'est que les radars c'est, ça nous semble encore plus intéressant et c'est la raison pour laquelle ça été fait en dehors, par des acteurs privés en fait qui ont voulu pareil, créer leur propre communauté, c'est Tom Tom, je crois le premier à avoir mis ça en place et qui avait créé sa communauté d’utilisateurs qui envoyaient les relevés, qui envoyaient les localisations des radars. Et donc c’était au profit d'une seule société, mais vu qu'il y avait un grand intérêt ils l'ont fait.
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| Open Street Map c'est vraiment un projet qui est désintéressé, même si il y a des sociétés qui tourment autour. Et donc ils ont plein de données. OK.
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| Le problème c'est que sur les données en tant que tel on n'a pas de droits. Si je vous dis que je connais toutes les températures de toutes les villes de France, là maintenant, je les connais, je les écris, je les mets sur la table, quelqu'un voit ces données là et puis il les retient, puis il va les réécrire à un autre endroit ou autre, je ne peux rien, rien, je ne peux en aucun cas m'opposer à cette utilisation ; je n'ai pas de droits exclusifs sur les données en question. C'est simple, les données, on dit que les informations sont libre partout. Là c'est ça. Les données n'importe qui peut les utiliser, je n'ai pas de droits sur les données en tant que tel. En revanche, on peut retrouver non plus sur la donnée mais sur la base de données, pour autant qu'elle soit organisée par exemple de façon originale ou pour autant qu'il y ait un investissement substantiel différents droits de propriété intellectuelle.
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| Par ces droits là je peux ensuite encadrer l'utilisation de la base de données, pas des données en tant que telles.
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| Pourquoi je vous en parle ? C'est qu'en fait l'utilisation des licences parfois peut paraître paradoxale, et dans le domaine public, l'utilisation publique de l'Open Data, des collectivités qui mettent à disposition les informations, les données publiques qu'elles détiennent, on a eu plusieurs fois cette discussion avec des gens qui nous disaient non, ces informations là elles dont financées par l'État et elles devraient appartenir à tout le mode. Ils devraient les mettre sur leur site et que quiconque puisse en faire tout usage. Et d'autres qui disaient oui mais potentiellement il y a des droits dessus, donc il faut mettre une licence, ce qui est vrai, et d'autres qui disaient quoi qu'il en soit il faut leur permettre de valoriser puis même d’encadrer l'utilisation qui sera faite des données publiques. On a eu vraiment cette discussion sur est-ce que dans ces situations là il vaut mieux ignorer le droit exclusif, ignorer, en tout cas considérer qu'il n'y a pas de droit dessus, que tout le monde peut reprendre les données, ou est-ce qu'au contraire, il faut rechercher un droit sur ces bases de données pour ensuite encadrer l'usage qui en est fait.
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| Bon, c’était pour un usage assez particulier des licences libres et aussi dans le cadre de la loi de78, la loi de 78 que je mentionne, celle qui est relative à la mise à disposition des informations publiques. C'est une obligation qu'avaient, qu'ont les collectivités et l'État de nous mettre à disposition certaines données, certaines informations et de les compléter par tout un corpus juridique et qui maintenant beaucoup, qui les oblige aussi, qui les incitent à permettre la réutilisation des données qu'ils publient et ainsi de suite. Pas besoin d'aller dans le détail.
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| Alors, comment les utilise t-on ?
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| Ça on en a parlé rapidement tout à l'heure. Où doivent-elles figurer ? On peut retrouver les licences soit, associées par exemple, imaginons que ces slides je les imprime, le plus simple si je veux être sur que tout le monde connaisse les termes d'utilisation de cette présentation, le plus simple c'est de les annexer. Donc voilà. A cette présentation je vais rajouter , une présentation qui va faire moins de 10 pages, je vais rajouter les 20 pages de licence. Je peux le faire. La Free domentation Licence impose lorsqu’on imprime un contenu qui est sous cette licence à y associer une licence. Même si il y a 3 pages il faut mettre les 15 pages de licence après. D'autres licences qui imposent, formalisent un peu moins contraignantes, j'ai juste rajouté un lien vers la licence, ça pose pas de problème c'est les licences de type Creative Commons, la licence art Libre aussi, juste en dessous.
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| Y a t-il des best practices ? A votre avis jusque là j'ai écrit, j'ai fait un long monologue
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| Y a t-il des best practices ? En faut-il ? Qu'est ce que ça vous évoque ? Voila. Qu'est -ce que ça vous dit ? Quelle est votre réaction sur cette question là ?
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| En dehors de la licence, on a la licence, mais après comment ? Y a t-il une bonne façon d'utiliser la licence ?
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| On va les compter. En fait non les best Practices, il n'y en a pas une, il y en a plein. Il y en a une multitude. Ça va dépendre du projet. On parlait de Debian, on appelait d'Appache tout à l'heure. Les best parctices d'apache ou de Debian sont complètement différentes
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| on parlait tout à l'heure des licences
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| J'ai parlé des Creatives commons aussi
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| la façon d'utiliser les licences n'est pas du tout la même. Et quand je dis la façon d'utiliser c'est les préconisations tant de Créative Commoms ou de copyleft attitude
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| voilà comment il faudrait utiliser les licences et après si vous avez un juriste qui lit les licences, il pourra très bien vous dire, non la licence vous impose que de faire ça
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| sachant que les licences généralement n'ont pour vocation qu'à s'intéresser aux aspects juridiques.
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| J'ai un monopole, les licences vont me permettre de le partager. Tout le formalisme, lié à quelles conditions les gens pourront avoir accès à la licence,
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| comment est-ce que je peux m’assurer, je ne sais pas que les contributions seront faites de façon conforme
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| tous ces aspects là ne sont pas dans la licence. Ils vont être autour. D'ailleurs dans les projets qui prennent une forme communautaire, on verra qu'il y a aussi des politiques plus globales qui ne concernent pas que les licences libres.
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| 26'
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| Alors, la première question, la question initiale était comment doit-on lire les licences ? En fait la première question est « Doit-on lire les licences ? » Qui dans la salle a déjà lu une licence entièrement ?
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| Oui... Trois personnes ?
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| Partiellement ? Très rapidement ?
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| Ah Oui !
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| Et pourquoi ne l'avez-vous pas lue entièrement ?
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| Oui, c'est pas drôle à lire, oui, je suis assez d'accord.
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| Donc vous utilisez un contenu, par exemple un logiciel qui est sous une licence, sans savoir exactement ce que vous donne la licence comme droit, et ce qu'elle vous impose en contrepartie.
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| Pardon ! D'accord ! Donc en connaissant une synthèse en fait de la licence. Ça pour tout le monde ou il y en a qui, pour qui l'aspect licence n'a pas d’intérêt. Ça se comprend aussi
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| Il y a une licence qui s'appelle, il y en a plusieurs, mais 2 assez symptomatiques la beer ware licence
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| Elle était utilisée pour des projets libres assez importants. Debian en avait écarté quelques-unes récemment.
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| C'est une licence qui impose, qui imposait, maintenant ils ont relativisé, qui impose lorsque
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| en revanche si vous rencontrez l'auteur, vous lui offrez une bière.
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| Oui mais si on ne le sait pas !
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| Il y a une licence, là qui sera un peu plus crue qui vous dit « Faites ce que bon vous semble « » on the take.. Pareil on òla retrouve. Il y a une licence. Juridiquement qu'est-ce qu'on en retient ? C'est discutable. Il y a une licence. On a plein de cas comme ça. Il y a une licence aussi, c'est « Faites le bien pas le mal. » En plus c'est un logiciel très utilisé, …..
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| je ne veux pas dire de bêtise, je n'ai plus en tête. Un logiciel qui est massivement diffusé et réutilisé, impose à celui qui utilise ce logiciel de faire le bien, de ne pas faire le mal. Bien.
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| Ah OK, d'accord. Je ne pensais pas.
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| Voila il y a plein de licences. Oui !
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| La MPL. Mozilla Public Licence. Particulière. Là pour le coup, c'est une licence que j'aime beaucoup, elle a été réécrite, d'ailleurs je ne sais pas si la v2 a été diffusée. Elle n'a pas ce type d'obligation qui paraissent un peu détachés des aspects juridiques. Le building licences à l'origine , enfin contrat qui va vous donner des droits de façon non exclusive,
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| celui qui vous les donne, les garde aussi pour lui. Elle vous les donne de façon très large pour que vous puissiez faire la même chose à peu près que lui-même
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| La MPLpour ça elle est très bien. L'avantage de la MPL on pourrait y revenir dans la lecture de la licence, elle favorise la création
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| de logiciels.
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| Le Fire Fox c'est un logiciel avec plein de plug-in autour. La MPL elle favorise ce type de création.
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| les clips,
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| pareil c'est des licences qui sont rédigées pour des logiciels en particulier, pour un type de développement de logiciels.
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| Donc voilà. Il y a des licences. Tout à l'heure je vous parlais de venividilibri en vous disant que après avoir fait de l’assistance auprès d'un certain nombre de personnes on s'est dit on va mutualiser.
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| Avant ça on avait essayé de simplifier la compréhension des licences. C'est normal que tout le monde ne lise pas.
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| C'est normal. Je ne devrais pas dire ça. C'est compréhensible que beaucoup de personnes ne lisent pas l'intégralité des licences. Et moi-même ça m'arrive souvent, pas dans le cadre de licences libres
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| C'est vraiment le sujet pas qui me passionne mais sur lequel je passe beaucoup de temps.
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| Des licences voilà on veut accéder à un site à un service quelconque, il y a 15 pages à lire, on a encore 30 secondes avant d'aller faire autre chose, parfois on ne prend même pas le temps
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| et quand ça prend plus, on est contraint de le faire, il faut prendre, descendre jusqu’en bas de la licence avant de dire j'accepte ça nous met en boule.
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| Oui, c'est ça.
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